Ilfaut voir les autres partie pour comprendre l'histoire. 2 Pets en ma possession, je continue mon épopée à travers ce jeu étrange. Après avoir attrapé Flowa, je continuais à essayer d'ouvrir les portes, surtout qu'on est dans une école abandonné, on devrait pouvoir rentrer
Êtes-vous heureux ? » Telle est la question centrale de la pièce de la metteure en scène belge, Justine Lequette, basée sur le documentaire Chronique d’un été 1961, qui est considéré comme la première expérience française de cinéma-vérité. Près de 60 ans plus tard, quatre comédiens issus du Conservatoire de Liège mettent en perspective cette époque et la nôtre en demandant En quoi votre bonheur est-il lié au travail ? », au Théâtre leurs phrasés d’intellectuels, Rémi Faure et Jules Puibaraud s’avèrent convaincants, dans les rôles des créateurs de ce film marquant, soit le sociologue Edgar Morin et le réalisateur-ethnologue, Jean Rouch. On s’amuse de les voir discuter sous un nuage de fumée de cigarette, ce qui est devenu inadmissible, aujourd’ son côté, l’excellente Léa Romagny devient la jeune Marceline qui questionne les passants dans les rues de Paris, bien avant que les vox pop n’apparaissent dans les journaux télévisés. Comment conjuguent-ils travail et bonheur ? Les réponses sont d’abord enthousiastes. Avec leur complice, Benjamin Lichou, lui aussi très polyvalent, ils y vont même d’une joyeuse chorégraphie sur une musique rock & roll des années 60. Puis, progressivement, on perçoit l’insatisfaction et un sentiment d’impuissance. Il faut travailler pour vivre, mais quelle énergie reste-t-il pour entreprendre autre chose après le travail ?Lequette et son équipe débarquent, ensuite, dans notre réalité d’aujourd’hui, tout en continuant de questionner le sens de nos vies. D’une part, il y a le discours des patrons et politiciens selon lequel un emploi précaire est préférable au chômage et l’aide sociale. On verra, entre autres, un personnage, qui n’est pas sans rappeler un certaint Emmanuel Macron, vanter les bienfaits du travail, qui donne du sens à l’existence. De l’autre côté, des citoyens, fatigués de passer leur vie à la gagner et d’alimenter une industrie axée vers la création incessante de nouveaux besoins. Le bonheur est-il de posséder plus d’une voiture ? Faut-il continuer de maintenir son niveau de vie, en passant l’essentiel de son temps au travail ? Le temps est-il venu de remettre tout cela en question et d’envoyer une lettre de non-candidature» à un poste tant convoité ?En plus de poser des questions fort pertinentes, on évite d’y répondre clairement, laissant à chacun le soin de faire son propre examen de conscience. Ce spectacle bien rythmé de 70 minutes, à la fois rigolo et sérieux, est à l’affiche toute la une partie de moi que j’adapteAvec Rémi Faure, Benjamin Lichou, Jules Puibaraud et Léa RomagnyMise en scène Justine LequetteUne coproduction de Création Studio, du Théâtre National Wallonie-Bruxelles et du Group la Salle Fred-Barry du Théâtre Denise-Pelletier jusqu’au 7 septembre.[mc4wp_form id= »11416″]Navigation des articles
Êtes-vous heureux ? ». À partir de cette question intentionnellement naïve, Jean Rouch et Edgard Morin tissaient le canevas de Chronique d’un été, photographie estivale d’une société française en pleine mutation à l’aube des années 60.Plus d’un demi-siècle plus tard, Julie Lequette s’empare de ce film culte, dont elle reconstitue, avec ses quatre partenaires,
EH-OH, ON RENTRE DU BOULOT ! DURÉE 1H10 VENDREDI 23 MARS 21H AU THÉÂTRE OLYMPIA / SALLE BERNARD-MARIE KOLTÈS SAMEDI 24 MARS 12H AU THÉÂTRE OLYMPIA / SALLE BERNARD-MARIE KOLTÈS C’est quoi ? Une écriture de plateau à base de vin rouge, de swing et de cinéma-vérité ! Influencé par Chronique d’un été 1960 de Jean Rouch et Edgar Morin, ce spectacle reprend des questions-clés sur le bonheur, la vie, le travail, les utopies, adressées dans ce film à des passants d’origines et d’horizons divers. Cette écriture collective insiste sur la question du sens que nous donnons à nos vies, dans une société qui, 60 ans plus tard, est à la fois restée la même et a beaucoup qui ? Une metteuse en scène et son équipe, formées à l’École Supérieure d’Acteurs de Liège. Pour ce premier projet, créé au Théâtre National de Bruxelles, ils défendent ensemble un théâtre choral, engagé et inventif, porté par la notion de fiction documentée ».production et coproductionproduction Création Studio Théâtre National Wallonie-Bruxelles coproduction Group Nabla construction décors et costumes ateliers du Théâtre National Wallonie-Bruxelles projet issu de Solo carte blanche – ESACT avec le soutien de l’ESACT, La Chaufferie Acte 1, Festival de Liège, Eubelius remerciements Nathanaël Harcq, Annah Schaeffer, Astrid Akay, Jo de LeuwThéâtreNational Wallonie-Bruxelles Justine Lequette Jeudi 5 mai à 21h00. J’abandonne une partie de moi que j’adapte Après l’expérience vécue ces derniers mois par chacun et chacune d’entre nous, comment ne pas reprogrammer ce spectacle qui aborde, de manière à la fois poétique et politique, la question du travail et plus encore du bonheur.
Exercice pendant la canicule En fait, j'essaie de faire de l'exercice même pendant les canicules parce que ça m'aide à mieux gérer et supporter la chaleur. Mais laissez-moi prendre un peu de recul pour mieux expliquer. Hier sprechen Sie alle möglichen Korrektoren an, also würde ich ein Plural verwenden Quand il fait très chaud – c'est à -à-dire plus de trente degrés – j'ai tendance à me sentir assez languider et à vouloir rester la pluchez moi la majeure partie de la journée chez moi. „languir“ bedeutet schon „apathisch/schlaff sein““Eine kleine „kulturelle“ Bemerkung Nebensächliche Zusätze zu einem Hauptsatz werden eher zwischen Klammern ausgedrückt, nicht wirklich hinter Bindestrichen Là, il m'aide beaucoup d'avoir des rendez-vous et des événements répartis sur la semaine, qui m'empêchent de devenir trop paresseuxr. „rendez-vous“ bedeutet „Verabredungen“ oder „Rendezvous“ — beim Arzt, für die Arbeit usw. Wenn Sie einfach geplannte Aktivitäten meinen, dann wäre „activités“ besser Et le sport en fait partie. J'assiste à un cours de fitness une ou deux fois par semaine. assister À qqch Là, il y a une personne dans leau centre de la salle qui montre les exercices, et tout le monde l'encercle etse met autour de lui puis essaie de l'imiter. „encercler“ klingt sehr... militärisch -D„puis“ um zu vermeiden, „et“ zu wiederholen On fait une partie de la cardio et après une, partie plus courte de la musculationmusculation plus courte. In einem solchen Kontext würde es kein „de“ geben besonders in modernem, gesprochenem Französisch Le tout est accompagné par de la musique très forte et un peu chiante, soyons honnêtes et dure soixante-quinze minutes. „chiante“ ist sehr umgangssprachlich und sogar unhöflich in vielen Kontexten aber ich vermute, dass sie es schon wissenWeniger umgangssprachlich, aber akzeptabler = et un peu gonflante Pendant la canicule, lesa premières quinze ou vingt minutes sont de l'aine de minutes est un enfer. „quinzaine“ ist definitionsgemäß etwas Unklares es kann 15 oder 20 Minuten sein also können Sie den Satz einfacher machen, wenn Sie dieses Wort benutzen Mais après ça va et mon corps s'adapte. Et quand je sors de la salle de sport, la chaleur dehors est beaucoup plus supportable, et je me sens largement mieux. sortir DE qqchAm Anfang dürfen Sie „DONC, quand je sors [...]“ schreiben, wenn Sie vermeiden wollen, „et“ zu wiederholen Overall feedback & comment Two or more people need to make corrections in order for the corrections to be grouped. You need LangCorrect Premium to access this feature. Upgrade Jabandonne une partie de moi que j’adapte. au Théâtre des Martyrs Justine Lequette / Group Nabla 04 > 09.12.2018. Profondément marqués par le film documentaire tourné par Edgar Morin et Jean Rouch en 1960, Chronique d’un été, première expérience française de cinéma-vérité, Justine Lequette et ses quatre comédiens en reprennent les questions-clés, adressées à des