Bonjour, Comme vous avez choisi notre site Web pour trouver la réponse à cette étape du jeu, vous ne serez pas déçu. En effet, nous avons préparé les solutions de CodyCross Sépulture pour notable de l’Égypte antique. Ce jeu est développé par Fanatee Games, contient plein de niveaux. C’est la tant attendue version Française du jeu. On doit trouver des mots et les placer sur la grille des mots croisés, les mots sont à trouver à partir de leurs définitions. Le jeu contient plusieurs niveaux difficiles qui nécessitent une bonne connaissance générale des thèmes politique, littérature, mathématiques, sciences, histoire et diverses autres catégories de culture générale. Nous avons trouvé les réponses à ce niveau et les partageons avec vous afin que vous puissiez continuer votre progression dans le jeu sans difficulté. Si vous cherchez des réponses, alors vous êtes dans le bon sujet. Le jeu est divisé en plusieurs mondes, groupes de puzzles et des grilles, la solution est proposée dans l’ordre d’apparition des puzzles. Vous pouvez également consulter les niveaux restants en visitant le sujet suivant Solution Codycross MASTABA Vous pouvez maintenant revenir au niveau en question et retrouver la suite des puzzles Solution Codycross Londres Groupe 481 Grille 5. Si vous avez une remarque alors n’hésitez pas à laisser un commentaire. Si vous souhaiter retrouver le groupe de grilles que vous êtes entrain de résoudre alors vous pouvez cliquer sur le sujet mentionné plus haut pour retrouver la liste complète des définitions à trouver. Merci Kassidi Amateur des jeux d'escape, d'énigmes et de quizz. J'ai créé ce site pour y mettre les solutions des jeux que j'ai essayés. This div height required for enabling the sticky sidebar
Cettepage a été modifiée pour la dernière fois le 21 novembre 2006 à 03:45 par Utilisateur STyx.Basé sur le travail de Utilisateur(s) Néfermaât. Droit d'auteur: Tous les textes sont disponibles sous les termes de la licence de documentation libre GNU (GFDL). Wikipedia® est une marque déposée de la Wikimedia Foundation, Inc., organisation de bienfaisance régie parCarte mentaleÉlargissez votre recherche dans UniversalisLe décor funéraire et ses diverses valeursLes diverses parties de la sépulture ont simultanément ou successivement attiré un décor, peint en général, plus rarement sculpté. Selon les périodes et les civilisations, il reste discret ou se répand avec découvertes de Paestum ont montré que la qualité du décor n'est pas liée à la monumentalité de la tombe. Les nécropoles de Paestum comportent des tombes à fosses dont les parois sont composées de quatre dalles posées de chant et couvertes par une cinquième ; ce sont ces dalles qui ont, aux ive et ve siècles de notre ère, servi de cadre à de remarquables tableaux dont certains, tel le plongeur et son environnement et banquets, représentent les seuls exemples actuellement connus de la peinture grecque classique. De plus, les meilleures peintures égyptiennes proviennent souvent des tombes les plus humbles de la vallée des Rois, où le support n'est qu'un enduit de terre et de paille pilées qui fait le désespoir des que soient les techniques dont on ne saurait faire ici l'analyse fresques a secco ou a tempera, peinture à l'encaustique, etc., les thèmes illustrés par ces peintures se chargent de valeurs diverses que supportaient déjà les stèles sculptées ou les ensembles scènes de la vie quotidienne et familière sont fréquentes ; elles reconstituent autour du défunt le cadre de son activité terrestre. Les peintures égyptiennes évoquent tous les aspects de la vie paysanne ainsi que celle des scribes et des hauts fonctionnaires de la cour. Les peintures des tombes étrusques font défiler les joies de la chasse, de la pêche, des banquets, des jeux publics ou privés. Les chefs et dignitaires de toutes les sociétés antiques ont voulu conserver le cadre de leur faste. Les grandes tombes chinoises, au Henan et au Shandong, par la peinture ou le dessin ciselé sur de grandes dalles, évoquent les fêtes, les processions de chars, les concerts, les chasses et les combats de la vie valeurs symboliques et religieuses ne sont pas oubliées, dans les mêmes domaines et pour les mêmes époques. Images de héros et de dieux protecteurs, représentations des divinités qui accueillent l'âme ou le principe de vie dans l'au-delà , témoignages de soumission ou de conciliation à l'égard de ces êtres fantastiques qui peuplent toujours le monde des morts, évocation plus aimable des dieux et des déesses dont les mystères promettent à leurs initiés les joies sereines de la survie, effigies des philosophes ou des sages qui ont apporté aux mortels, dès le séjour terrestre, les espérances et le réconfort d'une incontestable maîtrise intellectuelle ou morale constituent le répertoire, riche de formes et de couleurs, où puisent les décorateurs des y ajoutera aussi tous les thèmes liés à l'évocation de la vie éternelle ou de la résurrection les eaux vives et les sources, les images célestes et les symboles cosmiques, de caractère astral, les barques et les rites de passage. Les tombes chrétiennes primitives et celles des catacombes romaines fournissent une riche illustration à l'étude des thèmes symboliques relatifs à la vie les sépultures sont pour l'ethnologue, l'archéologue et l'historien une réserve inépuisable de documentation sur les multiples aspects de la vie matérielle, philosophique, religieuse des sociétés dans l'espace ou dans le temps. Cette documentation est d'autant plus précieuse qu'elle nous est transmise sans 2 3 4 5 …pour nos abonnés, l’article se compose de 8 pagesAfficher les 11 médias de l'articleÉcrit par membre de l'InstitutClassificationArtsArchitectureArchitecture funéraireSépultureArtsPeintureCatégories de la peinturePeinture funéraireAutres références SÉPULTURE » est également traité dans AFANAS'EVOÉcrit par Vadime ELISSEEFF • 457 mots • 1 média Afanas'evo est le nom d'une sépulture qui a servi à désigner une civilisation . L'Afanas'ievskaja Gora, c'est-à -dire le mont Athanase, se trouve en Russie, au nord de Minoussinsk, près de Bateni, dans la région de Khakassie. La culture d'Afanas'evo est la plus ancienne civilisation d'éleveurs connue dans l'est de l' Asie centrale. Elle dura du III e millénaire au début du II e , et s'étendait sur […] Lire la suiteAGUADA CULTUREÉcrit par Susana MONZON • 372 mots Développée dans le nord-ouest de l'Argentine, dans la région qui s'étend depuis la vallée Calchaqui jusqu'au nord de la province de San Juan, la culture aguada se situe, chronologiquement, dans la période céramique moyenne, entre 650 et 850. L'économie aguada était basée sur l'agriculture qui utilisait probablement des techniques d'irrigation ; elle était complétée par l'élevage du lama. L'artisan […] Lire la suiteALTAÏ TOMBES DE L'Écrit par Vadime ELISSEEFF • 552 mots L'expression tombes de l'Altaï » est un vocable courant pour désigner les tombes à tumulus ou à kourganes du Haut-Altaï, témoins de la culture de Pasyryk du ~ v e au ~ ii e siècle et de celle de Shibe du ~ ii e siècle au ii e siècle. La culture de Pasyryk est illustrée par le kourgane I de Pasyryk, fouillé en 1929 par M. P. Gryaznov, les kourganes II et III du même site et ceux de Tuekta, […] Lire la suiteAMARNA TELL EL-Écrit par Alain-Pierre ZIVIE • 2 307 mots • 8 médias Dans le chapitre La tombe royale et les sépultures des notables » […] On n'a retrouvé à Amarna qu'un nombre insignifiant de tombeaux quand on songe à la population qui habita cette ville et y mourut. C'est que, comme très souvent en Égypte, on ne s'est intéressé surtout qu'aux sépultures les plus importantes. Or, du fait qu'Akhetaton a été assez rapidement abandonné par ses habitants, et en premier lieu par ses notables qui n'avaient pas coupé tous les liens avec Th […] Lire la suiteANTINOÉÉcrit par Marie-Hélène RUTSCHOWSCAYA • 662 mots • 1 média La ville d'Antinoé fut fondée par Hadrien en 132. Elle devint, à l'époque chrétienne , le siège d'un évêché dépendant de Thèbes, puis fut élevée au rang de métropole de la Thébaïde à partir de Dioclétien. Les ruines s'étendent sur la rive orientale du Nil en face de Rôda, à 290 kilomètres du Caire. La ville romaine est située dans la plaine derrière le village de Cheykh Abadeh. Sur les premiers co […] Lire la suiteARCHÉOLOGIE Archéologie et société - Archéologie du temps présentÉcrit par Jean-Paul DEMOULE • 4 857 mots • 3 médias Dans le chapitre Archéologie des conflits et des charniers » […] Toutes ces études innovantes posent évidemment le problème de la définition de l'archéologie, mais aussi de ses limites chronologiques. Le débat a été posé très concrètement en France au début des années 1990 à propos de l'écrivain Alain-Fournier, l'auteur du Grand Meaulnes , mort au front au début de la Première Guerre mondiale, à l'occasion de la fouille de sa tombe qui avait été localisée dans […] Lire la suiteARCHÉOLOGIE MÉDIÉVALEÉcrit par Luc BOURGEOIS • 4 882 mots • 5 médias Dans le chapitre Espaces funéraires et édifices religieux » […] L’anthropologie physique, qui s’était fourvoyée dans des théories raciales au début du xx e siècle, a connu une renaissance à partir des années 1980 sous la forme d’une anthropologie de terrain », fortement influencée par les méthodes de la médecine légale, et d’une paléoanthropologie de laboratoire, qui s’ouvre sur un large spectre de thèmes démographie, pathologie, épidémiologie, génétique, […] Lire la suiteASIE DU SUD-EST art et archéologie - La formation des États indianisésÉcrit par Janice STARGARDT • 4 710 mots • 2 médias Dans le chapitre Les grandes villes pyues » […] Au premier rang se trouvent les résultats des recherches du Service archéologique birman. Des fouilles systématiques menées sur les sites de trois grandes villes pyues, Beikthano , Halin et Śrī Kṣetra, dont l'aire fortifiée est respectivement de 9, 6 et 9 kilomètres carrés, ont bien enrichi la documentation concernant les origines de la civilisation en Birmanie et ont permis de rapporter la chron […] Lire la suiteAU ROYAUME DES OMBRES. LA PEINTURE FUNÉRAIRE ANTIQUE expositionÉcrit par Mathilde MAHÉ • 958 mots L'exposition qui s'est tenue au musée de Saint-Romain-en-Gal - Vienne, du 8 octobre 1998 au 30 janvier 1999 – Au royaume des ombres, la peinture funéraire antique – visait à faire comprendre, à partir de documents archéologiques et iconographiques, le sens que pouvait revêtir la mort pour les Anciens, et la place qu'occupaient les défunts, ces ombres » de l'imaginaire antique, dans la société […] Lire la suiteCAHOKIAÉcrit par Éric TALADOIRE • 1 734 mots Dans le chapitre La cité de Cahokia » […] Le site de Cahokia a été largement préservé. Sa partie centrale se trouve dans un Parc national. Localisé dans la plaine inondable du bassin du Mississippi, le site connaît son apogée entre les xi e et xiv e siècles de notre ère, durant la Mississippian Period. Occupé depuis 700, ce serait, vers l'an 1000, d'après les éléments actuellement disponibles, le plus grand site préhistorique des Éta […] Lire la suiteVoir aussiDALLE FUNÉRAIREDÉCORATION ARCHITECTURALEPEINTURE FUNÉRAIREPEINTURE GRECQUELes derniers événementsRecevez les offres exclusives Universalis Letombeau du jeune pharaon -mort à 19 ans en 1324 avant J.C. après avoir régné neuf ans- est le seul mausolée de l'Egypte antique à avoir livré un tel trésor. Sous le nom d’Amarna ou Tell el-Amarna, on désigne le site de Moyenne Égypte où le pharaon de la XVIIIe dynastie XIVe s. av. Aménophis IV-Akhénaton choisit d’édifier sa nouvelle capitale pour prendre ses distances avec Thèbes et pour fournir un cadre approprié au culte, plus ou moins exclusif, du dieu solaire Aton qu’il tenta d’imposer au pays. Par extension le terme amarnien » peut également s’appliquer à tout ce qui touche à ce règne peu banal dans l’histoire égyptienne et en particulier à l’art et aux idées nouvelles en vigueur à cette époque. Crédit Barry Kemp et Kate Spence, Egypt exploration society ; infographie Michael Mallinson La ville d’Amarna, bien que très ruinée, constitue un cas exceptionnel dans l’archéologie égyptienne, tant par son caractère éphémère que par son importance historique et la richesse des informations de toute sorte qu’elle peut apporter. À côté des tombes et des temples, on trouve aussi là une ville proprement dite avec des palais, des résidences de notables, des maisons plus modestes, un quartier ouvrier, des rues, tout un vaste ensemble dont la fouille progressive permet de mieux appréhender l’urbanisme pharaonique dont les trop rares témoignages n’ont encore intéressé que peu de spécialistes. Des recherches archéologiques de plus ou moins grande envergure ont en effet lieu depuis plus d’un siècle sur ce site ; si elles ont d’abord permis de mettre en valeur les aspects exceptionnels de ce qu’il est convenu d’appeler l’aventure amarnienne », elles donnent lieu également, désormais, à d’autres approches, tout aussi stimulantes et fécondes, sans verser pour autant dans le sensationnel, voire le romanesque, que suscite trop souvent cette période. Plan du site de Tell El-Amarna Le site d’Amarna Amarna est situé en face de la ville antique d’Hermopolis magna, non loin de la ville moderne de Mellawi. Le nom erroné, mais entré dans l’usage, de Tell el-Amarna est le fruit de la déformation des noms d’un village actuel, el-Till, et d’une tribu arabe installée là anciennement, les Beni Amran. Localisé sur la rive est du Nil, le site est remarquable et d’une grande beauté. Il consiste en une vaste étendue 10 km Z 5 km limitée à l’ouest par le Nil et à l’est par la chaîne arabique qui forme à cet endroit comme un cirque. C’est dans ce paysage presque clos et somme toute vierge qu’Akhénaton, accompagné de la reine Néfertiti, décida de bâtir la nouvelle capitale dédiée au dieu Aton et baptisée Akhetaton Horizon d’Aton », le territoire symétrique situé sur la rive gauche constituant une sorte d’arrière-pays pour la nouvelle cité. La décision et sa mise en application datent de l’an 4 ou 5 du règne ; la construction de la ville dut se faire très rapidement, mais en un sens elle ne fut jamais complètement terminée et il faut imaginer qu’Amarna resta plus ou moins un chantier permanent. Crédit Barry Kemp et Kate Spence, Egypt exploration society ; infographie Michael Mallinson Les limites de la ville et de son territoire, ainsi que les circonstances de la fondation, sont fixées par des stèles-frontière de grande taille, accompagnées de statues, qui furent taillées à même le rocher. Elles sont au nombre de trois sur la rive gauche et de onze du côté d’Amarna proprement dit. Elles se dégradent mais certaines sont encore assez bien conservées et leurs représentations la famille royale adorant Aton et leurs textes constituent des témoignages précieux ; les inscriptions surtout, du fait que leur langue comme leur phraséologie sont caractéristiques de cette période et des bouleversements qu’elle suscita. La ville Il faut rappeler qu’Amarna n’est encore que partiellement connu du fait de son étendue et de la présence de gros villages ou de cultures dans l’ancienne zone urbaine proprement dite le long du fleuve, et parce que les fouilles n’ont porté que sur une partie du site. Certes, après le passage rapide des grandes expéditions et des voyageurs du XIXe siècle J. G. Wilkinson en particulier, puis les brefs séjours de plusieurs égyptologues W. F. Petrie, U. Bouriant, vint le temps des grandes prospections, des relevés systématiques de tombes et des fouilles proprement dites grandes expéditions britanniques puis allemandes jusqu’en 1914, grandes campagnes de l’Egypt Exploration Society de Londres entre 1921 et 1936. Mais il reste encore des zones entières à explorer, et cela selon une démarche plus lente, plus méticuleuse - comme le veut l’archéologie actuelle - qui est d’ailleurs celle des chercheurs britanniques qui ont repris les recherches sur ce site depuis les années 1980. La ville au sens strict du terme en dehors des nécropoles et des territoires agricoles ou semi-désertiques est en fait constituée de tout un vaste ensemble plus ou moins discontinu, avec son centre, ses quartiers suburbains, voire ses dépendances parfois éloignées ; le tout s’étale du reste sur toute la longueur du site. Du nord au sud les principaux quartiers ou ensembles étaient les suivants. 1. La ville du nord, avec ses maisons et son palais qui aurait été la résidence royale principale. 2. Une sorte de rampe ou de plate-forme qui enjambait la voie royale laquelle traversait tout le site longitudinalement. 3. Le palais du nord, construit peut-être à l’origine pour la reine Néfertiti, avec ses dépendances. Des peintures montrant entre autres la vie dans les marais couvraient certains murs. 4. Le faubourg nord qui pourrait avoir été une extension postérieure et inachevée de la ville centrale. 5. Cette dernière est en un sens la mieux connue ; du fait de son importance elle a en effet été particulièrement étudiée, mais les inconnues demeurent nombreuses, les bâtiments n’ayant conservé que leurs arasements. Une bonne partie de cette ville centrale est constituée par des constructions cultuelles et officielles séparées par des rues, le tout suivant un plan général en quadrillage. Parmi un certain nombre de sanctuaires consacrés au dieu solaire se trouvait là le grand temple d’Aton ; appelé Maison d’Aton dans Akhetaton », c’était un vaste ensemble de cours et de portiques avec des autels à ciel ouvert, différent en cela du temple égyptien classique. La principale construction officielle était le grand palais, ensemble également considérable comprenant divers bâtiments et cours à destination publique ou privée. La résidence royale proprement dite, située de l’autre côté de la voie royale, était reliée au palais par un pont. Près de là se trouvait aussi le bureau des archives où étaient conservées les dépêches diplomatiques et la correspondance officielle en rapport avec les affaires du Proche-Orient. Parmi les nombreuses maisons privées enfin, il faut mentionner celle du grand-prêtre d’Aton, Panehesy. 6. Plus au sud se trouve un autre quartier où l’on a retrouvé la maison et l’atelier d’un sculpteur de tout premier plan, Thoutmes. 7. Une structure mal identifiée a également été repérée près du Nil ; elle est connue sous le nom de temple du fleuve ». À la même hauteur, mais beaucoup plus à l’est, ont été découvertes les traces d’une occupation d’époque romaine, avec en particulier un camp. 8. Plus au sud encore se trouvait le Marou-Aton, sorte de résidence annexe comprenant des bâtiments divers, des sanctuaires, des jardins et même un lac de plaisance. Toutes les parties d’Akhetaton énumérées ci-dessus sont plutôt situées dans la zone occidentale du site, plus ou moins près du Nil. Plus à l’est, dans le désert et non loin des falaises, se trouvent encore d’autres éléments de la ville et de ses dépendances. Ainsi y a-t-il tout au nord trois autels », constructions faites de brique et de pierre ; sans doute en relation fonctionnelle avec les tombes septentrionales, ils ont aussi dû être utilisés lors de la cérémonie de la présentation du tribut étranger. Vers le centre du site, on trouve encore les restes d’un village fermé par un mur, sorte de cité ouvrière qui dut abriter les hommes qui creusèrent et décorèrent la tombe royale et les sépultures des grands personnages on songe à Deir el-Médineh, à Thèbes, où vécurent les ouvriers de la nécropole. Une autre zone d’habitation, sans doute destinée au même usage, a été découverte encore plus à l’est. La tombe royale et les sépultures des notables On n’a retrouvé à Amarna qu’un nombre insignifiant de tombeaux quand on songe à la population qui habita cette ville et y mourut. C’est que, comme très souvent en Égypte, on ne s’est intéressé surtout qu’aux sépultures les plus importantes. Or, du fait qu’Akhetaton a été assez rapidement abandonné par ses habitants, et en premier lieu par ses notables qui n’avaient pas coupé tous les liens avec Thèbes, ces derniers n’avaient pas toujours eu le temps ni la volonté ? de se faire construire un tombeau dans la nouvelle capitale. Du reste, les grands hypogées d’Amarna sont pour certains inachevés et semblent n’avoir pas été utilisés à moins que les défunts et leur équipement funéraire n’aient été déménagés lors de l’abandon de la ville ?. Vers le nord-est s’ouvre dans la falaise l’entrée d’un long vallon, le Darb el-Malek. Il mène, quelques kilomètres plus loin, à ce qui devait être le cimetière royal. Mais des quelques sépultures présentes, une seule a été décorée et sans doute utilisée celle d’Akhénaton. Très profond et d’un plan assez proche de ceux qu’on connaît à la vallée des Rois, à Thèbes, le tombeau du roi comporte comme deux prolongations latérales. Sans doute a-t-il été agrandi pour recevoir la reine et en tout cas la princesse Maketaton, morte prématurément. Bien que très dégradés, les reliefs qui ornent l’hypogée témoignent encore du renouvellement de la thématique et du savoir-faire de ceux qui conçurent et exécutèrent sa décoration. Princesse Amarniène Les sépultures des grands dignitaires étaient quant à elles creusées dans la falaise qui entoure le site. On en compte six, regroupées au nord, et dix-neuf, concentrées au sud, qui sont particulièrement notables. Quoique assez proches des tombes thébaines de la seconde moitié de la XVIIIe dynastie, elles présentent parfois certaines différences entre elles, tant dans leur plan que dans leur décor. Là encore, l’état de conservation est malheureusement des plus médiocres. C’est regrettable car on avait affaire à des reliefs et à des textes du plus haut intérêt documentaire et artistique famille royale, culte rendu à Aton dans son temple, hommage d’étrangers, vie quotidienne à Akhetaton, hymnes plus ou moins développés... Cela d’autant plus que ces tombes rupestres appartenaient aux plus hauts dignitaires, ceux qui contrôlaient la marche même de la ville et du pays vizir, haut clergé d’Aton, chefs du trésor, chancelier, chambellan, chef de la police, généraux, maire, directeur des travaux... Il faut tout particulièrement signaler la tombe du père divin Aÿ qui, après le retour à l’ orthodoxie », finira par succéder à Toutânkhamon et par monter sur le trône. Le Divin Père Aÿ L’importance d’Amarna Tell el-Amarna n’a pleinement fonctionné comme ville et n’a vraiment été habité que pendant une vingtaine d’années une occupation sporadique a pu subsister près du Nil et on sait que des traces d’époque romaine ont été retrouvées en un ou deux points. L’histoire du site se limite donc au règne d’Akhénaton et de ses successeurs immédiats ; mais ce règne ne se ramène pas entièrement à Amarna ; l’Égypte, Thèbes, Memphis ont continué à vivre leur vie propre pendant ce temps. C’est dire qu’il faut toujours garder un certain recul pour situer Amarna dans l’histoire et dans la civilisation égyptiennes. Il est vrai que malgré son caractère éphémère et les destructions auxquelles il fut condamné avec Horemheb et ses successeurs, le site a fourni des documents exceptionnels, qui ont enrichi notre vision de l’Égypte du Nouvel Empire et même du Proche-Orient contemporain. C’est là par exemple qu’ont été découvertes, provenant du bureau des archives, les lettres d’Amarna », c’est-à -dire environ quatre cents tablettes écrites en akkadien et faisant connaître avec précision la situation politique en Syrie-Palestine, les intrigues, les renversements d’alliances. C’est à Amarna également qu’ont été découvertes des oeuvres qui ne sont pas seulement les productions les plus étonnantes du nouvel art amarnien », mais qui comptent parmi les plus grandes réussites de l’Égypte ancienne ainsi le très célèbre buste de Néfertiti maintenant à Berlin, qui fut retrouvé dans l’atelier du sculpteur Thoutmes. Mais l’importance d’Amarna ne réside pas seulement dans ce que cette ville a eu d’exceptionnel. Akhetaton fut aussi la ville d’innombrables Égyptiens anonymes, entraînés sans bien comprendre dans des événements qui les dépassaient. Des témoignages modestes montrent par exemple qu’ils conservaient au cœur même de la cité d’Aton leur dévotion pour les divinités traditionnelles. C’est cet autre visage d’Amarna, complémentaire du premier, qui est de plus en plus l’objet des recherches menées sur le site. Aidepour l'utilisation du Modèle Sépulture dans l'Égypte antique. Ce modèle à pour but d'afficher la sépulture d'un pharaon (ou d'une pharaonne, d'une Divine adoratrice d'Amon, d'un Grand prêtre, d'un Vizir, etc.). Paramètres. Paramètre Description Valeur par défaut; titre: Titre du tableau: none (donne le nom de la page') type: Type de tombe (pyramide, mastaba) none: emplacement La momie de Woseribre Senebkay, un pharaon inconnu jusqu’à présent, a été découverte et récemment reconstituée par des archéologues dans le sud de l'Egypte. Il y a des pharaons qui marquent l’histoire et d’autres qui finissent dans l’oubli. Woseribre Senebkay fait partie de ces monarques qui, après des siècles de méconnaissance finissent par s’inscrire dans la grande fresque des personnages historiques. Sa momie morcelée a été découverte sur le site d’Abydos, dans le sud de l'Egypte. Et grâce au travail acharné d’archéologues de l'université de Pennsylvanie, le squelette du roi a finalement pu être reconstitué. Les observations préliminaires indiquent que le pharaon mesurait environ 1,75 m. Même si le tombeau de Senebkay ne se démarque pas par sa taille, tout laisse à penser qu’il abritait bien la sépulture d’un pharaon. Le souverain est la première preuve tangible de l’existence de la dynastie Abydos, une lignée soupçonnée d’avoir existé sans jamais avoir été mise au jour. "C’est excitant de trouver en même temps que le tombeau d’un pharaon inconnu auparavant, la nécropole de toute une dynastie oubliée" a souligné dans un communiqué Josef Wegner directeur des travaux de mobilier volé et réutiliséLes archéologues ont découvert les restes du squelette de Senebkay l’été dernier lors de fouilles. Le corps, bien endommagé était enfermé dans un énorme sarcophage de quartzite rouge d’environ 60 tonnes. Mais davantage de recherches ont été nécessaires pour découvrir que le cercueil appartenait en fait à Sobekhotep I. La sépulture du pharaon, dissimulée dans une pyramide d’Abydos, aurait reçu un siècle plus tard, la visite d’autres monarques. Et les visiteurs ne se seraient pas gênés pour piller le tombeau à leurs propres ainsi que Senebkay a récupéré quelques éléments du mobilier pour orner sa propre tombe, prenant soin de recouvrir le nom du propriétaire original par le sien. Le tombeau de Senebkay a été daté à 1650 avant JC. Il se compose de quatre chambres dont une funéraire. Les murs blancs en calcaire de celle-ci sont peints avec des images colorées de divinités. Les chercheurs ont identifié les figures de Nout, déesse du ciel, de Nephtys, déesse protectrice des morts, de Serket, déesse protectrice du venin de serpents, scorpions et autres animaux dangereux, et enfin d’Isis, déesse protectrice et inscription en guise de confirmation Un cartouche retrouvé sur les murs de la tombe attesterait de l’identité du propriétaire. Sur celui-ci est écrit "roi de Haute et Basse Egypte, Woseribre, le fils de Râ, Senebkay". La découverte confirme donc l'existence de la dynastie Abydos de Senebkay, dont le nom apparaît notamment sur le papyrus de Turin datant de 1200 avant JC, soit environ 400 ans après que le monarque a gouverné. Le document mentionne également les noms d’une douzaine de rois appartenant à la dynastie, malheureusement, la plupart d’entre eux sont illisibles. Les archéologues soupçonnent l’existence d'au moins 16 tombes de pharaons de cette époque ensevelies sur le site d’AbydosCrédit photo Jennifer Wegner, Penn Museum
Sépulturepour notable de l'Égypte antique: m a s t a b a. Congédi é: r e n v o y é. Fief de Jacques Chirac et de François Hollande: c o r r è z e. Chaise longue pliante: t r a n s a t. Elle a incarné Eva Perón à l'écran: m a d o n n a. Vaisselle de poupée: d i n e t t e. Strophe de huit vers: h u i t a i n. Son nom se termine en .com ou .fr: d o m a i n e. Instrument de calcul
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