Faitpartie de : Le Courrier de l'UNESCO Collation : p. 4-37, illus. Langue : Français Aussi disponible en : English Aussi disponible en : Español Année de publication : 1986. numéro de périodique. mili i i n' 1 i i if i // / / 1 1 i i\l * 1 1 i'* i ' i ' * ' ê r "J O.1.'.'Alillt i ti it 1

En stockant une large part du CO2 émis par les activités humaines et en absorbant la chaleur accumulée par effet de serre, l’océan ralentit le réchauffement des eaux de surface et des terres émergées. C’est grâce à cette immense masse d’eau que les modifications du climat sont encore supportables ». De plus, les écosystèmes des grands fonds jouent un rôle majeur dans le stockage durable du carbone, absorbé par le phytoplancton et les plantes terrestres. Les micro-organismes y servent aussi de filtre au méthane formé par cette matière fossilisée. En utilisant comme énergie le méthane, ils transforment ce gaz à effet de serre plus puissant que le CO2 en minéraux l’empêchant ainsi de remonter à la surface. Les organismes des profondeurs océaniques sont très dépendants de ce qui se passe dans l’atmosphère et à la surface des océans. Ils dépendent largement de particules issues de la photosynthèse. La neige marine, cette pluie de matière organique qui tombe de la surface y est bien souvent la base de la chaîne alimentaire. Les eaux de surface apportent aussi leur oxygène aux abysses, lorsqu’elles plongent en profondeur au niveau des pôles. Ainsi les modifications qui se produisent en surface, comme l’appauvrissement en oxygène ou la diminution du phytoplancton, ont des conséquences sur la vie dans les grands fonds et peuvent affecter le fonctionnement des écosystèmes. On observe déjà des changements significatifs dans les apports de nourritures à plusieurs milliers de mètres de profondeur. S’agit-il d’événements naturels » ou des premiers signes de perturbations de l’ensemble de la colonne d’eau de la surface aux plaines abyssales ? Les séries d’observations d’à peine 15 à 25 ans sont encore trop courtes pour conclure, mais elles confirment que la biodiversité en profondeur change très vite dès que les ressources disponibles sont modifiées. Ces écosystèmes sont donc tributaires des changements qui se déroulent actuellement sur toute la planète. Parallèlement aux modifications du climat, l’exploitation des ressources minérales, hydrocarbures, pêche s’étend vers les grandes profondeurs et apporte aussi son lot de perturbations de ces milieux fragiles. Un point mérite une attention particulière. Lorsque les eaux de surface sont plus chaudes, elles se mélangent moins bien avec les eaux profondes. En réduisant la ventilation » des profondeurs, le réchauffement réduit encore les faibles teneurs en oxygène des eaux dites intermédiaires » quelques centaines de mètres de profondeur sur de larges régions de l’océan tropical. Dans les régions très productives du nord de l’océan Indien, de la côte ouest des États-Unis ou encore du Pérou, du Chili ou de Namibie, des observations montrent que les eaux privées d’oxygène s’étendent et réduisent largement les espaces habitables pour certaines espèces, comme les thons, au profit d’autres espèces comme les calamars qui en proliférant peuvent affecter tout l’écosystème. D’autres modifications plus subtiles peuvent avoir des conséquences radicales sur les écosystèmes. L’augmentation de la température de l’eau, même d’un dixième de degré tous les 10 ans dans certaines régions polaires, permet à certains crabes prédateurs d’étendre leur territoire et de décimer des espèces protégées jusqu’alors par des eaux très froides -1,5 °C. Dans d’autres régions, ce sont les effets de l’acidification des eaux, ayant absorbé de grandes quantités de CO2, qui font craindre une dégradation de l’état des récifs coralliens profonds, dont dépendent de nombreuses espèces de poissons et de crustacés. Les études en laboratoire montrent que la combinaison de ce phénomène avec la désoxygénation des eaux comme dans le Golfe du Mexique, où avec le réchauffement d’eaux profondes déjà inhabituellement chaudes comme en Méditerranée, est particulièrement critique. La rapidité avec laquelle la biodiversité profonde réagit aux changements appelle à prendre en compte sans tarder ces risques pour ne pas compromettre la capacité d’atténuation des perturbations climatiques par l’océan et bien d’autres services assurés par la biodiversité des fonds océaniques. La première étape sera de reconnaître, explicitement, le rôle de l’océan profond dans l’atténuation du changement climatique, la sensibilité particulière des espèces profondes et les effets qu’elles pourraient exercer sur la surface des océans ou l’atmosphère. La régulation des excès de CO2 et de chaleur a un coût pour les organismes des grandes profondeurs qui peut avoir des conséquences irréversibles à très court terme. Un effort partagé sera indispensable pour développer la connaissance et les outils nécessaires à une protection efficace des écosystèmes les plus vulnérables. L’écologie des grands fonds reste une science jeune. Il y a à peine 150 ans, les scientifiques excluaient que la vie marine soit possible à plus de 500 mètres de profondeur. Depuis, chaque exploration apporte de nouvelles preuves de l’extraordinaire diversité du vivant dans l’océan et de la capacité des espèces à vivre dans des conditions exceptionnelles de température, d’oxygénation, d’acidité, de pression, etc.. Reste à savoir si cette capacité d’adaptation suffira pour répondre aux perturbations induites par le changement climatique ? Cependant, nous devons reconnaître que nous n’avons aujourd’hui qu’une vision très limitée de la déstabilisation de ces écosystèmes prédite par les scénarios d’émission de gaz à effets de serre. Dans ce contexte, les Aires marines protégées sont précieuses, en particulier lorsqu’elles s’étendent au large et qu’elles intègrent des écosystèmes remarquables, comme ceux des canyons ou des monts sous-marins, qui assurent des fonctions importantes en interaction avec les écosystèmes de surface. En protégeant et en permettant un suivi à long terme de ces hotspots » de biodiversité, elles sont aussi des laboratoires naturels pour mieux comprendre les effets du changement climatique sur ces écosystèmes et leurs conséquences. Anticiper les vulnérabilités et définir des mesures de protection efficaces est un enjeu crucial, alors que les nombreuses urgences climatiques tendent à laisser de côté ce patrimoine exceptionnel mais qui reste ignoré.

JUPITER Ce mardi 23 août 2022, la géante gazeuse a été immortalisée par le télescope James Webb. Des images qui révèlent les pôles de

Aussi profond que l'océan News Bandes-annonces Casting Critiques spectateurs Critiques presse VOD Blu-Ray, DVD Photos Musique Secrets de tournage Récompenses Films similaires note moyenne 2,9 714 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné Votre avis sur Aussi profond que l'océan ? 54 critiques spectateurs 5 7 critiques 4 12 critiques 3 16 critiques 2 14 critiques 1 2 critiques 0 3 critiques Trier par Critiques les plus récentes Critiques les plus utiles Par les membres ayant fait le plus de critiques Par les membres ayant le plus d'abonnés J'ai trouvé ce film très émouvant autant sur la forme que sur le fond. La scène ou la mère se rend compte que son enfant a disparu est extrêmement touchante. Ce qui m'a le plus marqué dans ce film c'est son réalisme. Une famille qui malgré la tragédie tente de se raccrocher à une vie que l'on aime superficielle et légère. Un film à voir avec un mouchoir Un très bon scénario ou l'on emmène le spectateur dans de multiples horizons à travers les états d'ames de chacun , tout les acteurs sont excellents dans leurs rôle , Un mélodrame puissant et touchant , et comme d'habitude Michelle Pfeiffer est énorme dans son interprétation . Ce Film vient d'être diffusé en TV ce qui m'a donné l'opportunité de le voilà une histoire propre à faire frémir tous les parents du monde perdre son enfant dans la foule et puis plus rien des années durant...Tout ce qu'il faut pour basculer dans une dépression et mettre à très rude épreuve les liens, les fondements d'une famille, ce qui ne tarde évidemment pas à arriver comme souvent la vie a plus d'imagination que nos rêves, la magie opère et revoilà le disparu ... Mais si longtemps après. Comment faire pour réinventer la vie et le quotidien, après pareille aventure ?...Ce film est à mon sens spécialement bien conçu, ciselé dans les détails, sans la moindre incohérence ; il est de plus interprété avec une justesse et une finesse incomparables par Michèle Pfeiffer...C'est simple, j'ai vibré tout du long, tant cette histoire m'a pris, ce qui m'a valu de me réveiller le lendemain matin en étant encore dedans .... C'est dire ! Je donne sans hésiter à ce Film une note d'excellence, de 4,5 sur 5. Un mélo finalement assez conventionnel,qui partait pourtant d'un pied si singuliler. Une mère de famille cherche éperdument,pendant des mois,des années,son fils perdu dans une bousculade. Elle croit l'avoir retrouvé,mais agit-elle par déni ou par certitude? Michelle Pfeiffer incarne avec force conviction cette mère aux réactions irrationnelles,mais ne peut songer à elle seule la tournure trop mélodramatique et réconciliatrice de la seconde partie. "Aussi profond que l'océan"1999permet aussi de belles prestations des désormais rares Treat Williams et Whoopi Goldberg. Une histoire terrible et prenante. Des interprétations justes. Contrairement à ce que j'ai lu, je ne trouve pas le ton larmoyant. Évidemment qu'il faut exprimer de l'émotion et je la trouve justement dosée !J'aime revoir ce film de temps en temps. "Aussi profond que l'océan" nous conte une tragédie américaine où l'on retrouve en vedette Michelle Pfeiffer en compagnie de Treat Williams. Nous montrant des interactions entre personnages plutôt lourdes et ennuyeuses, Ulu Grosbard perd le fil de son récit et sombre dans les sentiments faciles et sans âme. Casting peu convaincant et histoire légèrement tirée par les cheveux suffisent à désarçonner un spectateur dont l'immersion ne fut jamais effectuée convenablement. Un sujet difficile car il existe un risque assez grand que le film cherche à accumuler les scènes "larmoyantes" pour les acteurs ou pour les spectateurs. Parfois le réalisateur l'évite de manière subtile pour ensuite céder à la facilité, me laissant sur une impression mitigée. Excellent et très bonne analyse psychologique dans la deuxième partie! J'en attendais un peu plus de ce film, qui ressemble plus à un petit téléfilm qui passerait à la télé dans l'après midi qu'à un grand film de cinéma. Le jeu des acteurs reste néanmoins correct, même si Michelle Pfeiffer est parfois agaçante. Un film prometteur sur le papier, un thème dramatique et pourtant, çà ne prend pas. L'ensemble des acteurs est en dedans, superficiels et orchestrés par une mise en scène catastrophique. Aucune émotion en ressort, rien ! Un énorme défaut de scénario avant tout. On ne traite pas ceci de cette façon, à la "vas vite", sans "rentrer" dans les douleurs, les questions et les explications. Une famille meurtrie, peut-être mais pas en ressenti, absolument pas. Certes, c'est un film de plus de 10 ans mais çà n'excuse en rien de faire le minimum ! Il nécessiterait un remake et un ettofage avec une réalisation professionnelle. 2/5 pour l'idée uniquement on peut l'éviter !!!. La première heure est prenante, la suite beaucoup moins. Ce film est... profond. L'histoire de Ben est touchante. Cette famille a entièrement été bouleversée pour la vie en quoi, cinq secondes ? Mais ce n'est pas le plus affreux. Le plus affreux, c'est que la situation du film n'est pas franchement surréaliste, ce genre de drame arrivant malheureusement tous les jours. Et c'est ce réalisme et le fait qu'en visionnant le film, on prend conscience que cette situation est d'une banalité consternante. Le film émeut, donne envie de faire changer les choses. Et on ressort profondément bouleversé, par ce chef-d'oeuvre poignant au titre ridicule. Plutôt simple, mais touchant. L’histoire ne peut qu’émouvoir, et la composition de Michelle Pfeiffer y est pour beaucoup, car sans en faire trop, elle réussit à rendre chacune des scènes fortes encore plus fortes. Je pense notamment à la scène où elle reconnaît son fils, elle est parfaite dans cette scène. Si l’histoire ne sort pas des sentiers battus, il n’en reste pas moins qu’elle est intéressante, touchante, et bien interprétée. Si l'un de vos enfants disparaissait de votre vie...quand cesser les recherches et jusqu'où se battre ? Ce film èmouvant est tirè d'un fait rèel, celui d'un garçonnet de 4 ans, disparu dans le hall d'un hôtel, qui refait surface dix ans plus tard au domicile familial! Une nouvelle enquête est ouverte pour èlucider le mystère! Un enfant est enlevè mais tout ne repose pas sur ça! Rèalisè par Ulu Grosbard, à qui l'on doit le superbe "Straight Time" avec Dustin Hoffman, voici un mèlo sur la survie d'une famille qui, parfois, s'ècarte des clichès du genre mais est rapidement relevèe par une Michelle Pfeiffer, impeccable de justesse et d'une sensibilitè de tous les instants! Elle est accompagnèe par de solides acteurs comme Whoopi Goldberg, le mèconnu John Kapelos et de jeunes acteurs brillants Cory Buck, surtout. Un sujet poignant et humain, un sentiment de vèritè profonde! Tels sont les atouts de "The Deep End of the Ocean"... Les meilleurs films de tous les temps Meilleurs films Meilleurs films selon la presse

Lazone abyssopélagique ou zone abyssale est la partie de l’océan qui s’étend de 4 000 à 6 000 mètres de profondeur. Le mot abysse vient d’un mot grec signifiant « sans fond ». La température y est de 3 à 4 degrés Celsius environ. Cette zone couvre 83 % de la surface totale de l’océan et 60 % de la surface de la Terre. Pas une, ni deux ou trois, mais bien quatre sonnettes d’alarmes viennent d’être tirées par l’ONU sur le dérèglement climatique. Par la voix de l’Organisation météorologique mondiale OMM, qui publie ce mercredi son Etat du climat mondial en 2021 », l’organisation internationale met en évidence les records battus par quatre marqueurs clés du changement climatique les concentrations de gaz à effet de serre, l’élévation du niveau de la mer, la température et l’acidification des rapport est une litanie lamentable de l’échec de l’humanité à lutter contre le dérèglement climatique », dénonce le chef de l’ONU, Antonio Guterres. Le système énergétique mondial est brisé et nous rapproche de plus en plus de la catastrophe climatique », met-il en garde, exhortant à mettre fin à la pollution par les combustibles fossiles et accélérer la transition vers les énergies renouvelables avant d’incinérer notre seule maison. »A 0,4 degré de l’accord de ParisLe rapport confirme que les sept dernières années étaient les sept années les plus chaudes jamais enregistrées. Même malgré le phénomène météorologique La Nina, qui a eu un effet refroidissant sur les températures mondiales en début et en fin d’année, 2021 reste l’une des années les plus chaudes jamais enregistrées, avec une température mondiale moyenne d’environ 1,11 degré Celsius au-dessus du niveau préindustriel. Pour rappel, l’ accord de Paris de 2015 sur le climat vise à limiter le réchauffement de la planète à +1,5 °C par rapport à l’ère pré-industrielle. Notre climat change sous nos yeux », a déclaré le chef de l’OMM, Petteri Taalas. La chaleur piégée par les gaz à effet de serre d’origine humaine réchauffera la planète pendant de nombreuses générations à venir. L’élévation du niveau de la mer, la chaleur et l’acidification des océans se poursuivront pendant des centaines d’années à moins que des moyens d’éliminer le carbone de l’atmosphère ne soient inventés. »Les concentrations de gaz à effet de serre ont atteint un nouveau sommet mondial en 2020, lorsque la concentration de dioxyde de carbone CO2 a atteint 413,2 parties par million ppm dans le monde, soit 149 % du niveau préindustriel. Le niveau moyen mondial de la mer a lui atteint un nouveau record en 2021, après avoir augmenté en moyenne de 4,5 millimètres par an de 2013 à 2021, selon le rapport. Il avait affiché une hausse moyenne de 2,1 mm par an entre 1993 et 2002, l’augmentation entre les deux périodes étant principalement due à la perte accélérée de masse de glace des calottes glaciaires », souligne le température de l’océan a aussi atteint un niveau record l’année dernière, dépassant la valeur de 2020, selon le rapport. La combinaison de ces quatre indicateurs clés construit une image cohérente d’un monde en réchauffement qui touche toutes les parties de la planète », indique le rapport. Et ces différents marqueurs pourraient se renforcer mutuellement. Ainsi, L’océan absorbe environ 23 % des émissions annuelles de CO2 d’origine humaine dans l’atmosphère. Bien que cela ralentisse l’augmentation des concentrations atmosphériques de CO2, ce dernier réagit avec l’eau de mer et conduit à l’acidification des océans. La transformation des énergies renouvelables peut être le projet de paix du XXIe siècle »La chaleur pénétrant toujours plus profond, les premiers mètres de l’océan vont aussi continuer à se réchauffer, un changement irréversible sur des échelles de temps centenaires à millénaires » selon l’OMM. Pendant ce temps, le rapport indique que le trou dans la couche d’ozone de l’Antarctique est exceptionnellement profond et étendu » de 24,8 millions de kilomètres carrés en 2021, entraîné par un vortex polaire fort et Guterres a proposé cinq actions pour relancer la transition vers les énergies renouvelables avant qu’il ne soit trop tard » mettre fin aux subventions aux combustibles fossiles, tripler les investissements dans les énergies renouvelables, supprimer les formalités administratives, sécuriser l’approvisionnement en matières premières pour les technologies d’énergies renouvelables et faire de ces technologies, telles que le stockage sur batterie, des biens publics mondiaux librement disponibles. Si nous agissons ensemble, la transformation des énergies renouvelables peut être le projet de paix du XXIe siècle », a-t-il déclaré.
\n \n\n\n\n\n aussi profond que l océan fin
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Dossier Océans et littoralMagazine N°575 Mai 2002Par Jean-François MINSTER 70 L'océan est une composante clé du système Terre. Il est partie prenante des transports de chaleur, d'eau ou de carbone sur notre planète. Interagissant de façon mécanique et thermodynamique avec l'atmosphère, il joue un rôle essentiel dans les fluctuations naturelles du climat, c'est-à-dire les fluctuations physiques et chimiques du système Terre aux échelles de temps allant de la saison aux millénaires, et aux échelles d'espace allant du continent à celle du globe. Plus encore que l'atmosphère, il est le siège de couplages entre phénomènes physiques, chimiques, biologiques et de l'écosystème, qui font de notre planète une machine intégrée. Il est donc inévitable que l'océan joue un rôle fondamental dans la question du changement climatique qui apparaît probablement en conséquence à l'effet de serre induit par les rejets humains de gaz absorbant les rayonnements infrarouges dans l'atmosphère. Mais quel est ce rôle ? Je vais tenter d'en donner une brève description en rappelant quelques éléments de base du fonctionnement de l'océan puis en montrant comment il peut être perturbé par l'effet de serre d'origine anthropique. L'océan est une machine thermodynamique Dans les zones tropicales, l'océan reçoit à sa surface plus de chaleur du soleil qu'il n'en perd vers l'atmosphère par rayonnement infrarouge, par transfert de chaleur latente ou encore par simple conduction. Au contraire, dans les hautes latitudes, il se refroidit vers l'atmosphère, parce que le flux de chaleur du soleil est beaucoup plus faible. En moyenne annuelle, le bilan net régional est de l'ordre de 50 W/m2 dans chaque sens. Ces excès ou déficits régionaux sont équilibrés par des transports de chaleur de l'équateur vers les pôles, qui sont effectués par les courants océaniques. Ces transports sont de l'ordre de 5 x 1015 W vers 40° de latitude ; ils sont comparables à ceux de l'atmosphère, et de l'ordre de 100 fois le total de l'énergie produite par l'homme. L'océan n'est chauffé que par sa surface, ce qui fait qu'il est stratifié, avec de l'eau chaude en surface et de l'eau froide au fond. Ce transport de chaleur implique qu'en moyenne de l'eau chaude se déplace de l'équateur vers les pôles, tandis que de l'eau froide revient vers l'équateur. Le premier flux se fait pour l'essentiel à la surface de l'océan, par l'intermédiaire des grands courants comme le Gulf Stream. Ces derniers s'écoulent vers les pôles, à l'ouest des bassins océaniques, sous forme de veines relativement étroites quelques centaines de kilomètres et de plusieurs centaines de mètres de profondeur, à des vitesses de l'ordre de 1 m/s. Le flux d'eau froide se fait soit en " subsurface " c'est-à-dire quelques centaines de mètres de profondeur, plutôt à l'est des bassins, soit en profondeur plusieurs milliers de mètres de profondeur. Le deuxième phénomène s'appelle la circulation thermohaline il résulte du fait que les eaux de surface, quand elles se refroidissent, deviennent denses et coulent vers les profondeurs de l'océan ; cela arrive plus particulièrement à la fin de l'hiver aux très hautes latitudes et lorsque les eaux sont déjà denses parce que relativement salées. Les eaux profondes s'écoulent alors à faible vitesse à l'échelle du globe, en remplissant les bassins océaniques profonds. Ainsi, on sait identifier la trace d'eaux ayant quitté la surface de l'océan en mer de Norvège, jusque dans le Pacifique Nord, plus de mille ans plus tard. Pour expliquer les courants océaniques, il faut prendre en compte également l'effet mécanique du vent, qui entraîne les couches de surface des océans une centaine de mètres, pour fixer les idées. Pour donner un exemple, dans les zones tempérées, ces dérives de surface empilent les eaux au milieu des bassins océaniques et créent des gradients horizontaux de pression dans l'océan. En réponse à ces gradients de pression, les eaux se mettent en mouvement dans toute la colonne d'eau. En fait, comme notre planète est une sphère en rotation, ces mouvements se font autour des hautes ou basses pressions de l'océan, tout comme les vents tournent autour des hautes pressions ou des dépressions de l'atmosphère ; les forces de Coriolis, liées à la rotation de la Terre, équilibrent ces gradients de pression. C'est ainsi que le Gulf Stream fait une grande boucle autour de la mer des Sargasses. Il transporte de très grandes quantités d'eau par exemple, au sud de Terre-Neuve, ce transport atteint 100 x 106 m3/s, soit 100 fois le total des rivières de la Terre ! L'océan physique couple les différents compartiments du système Terre L'océan est un système thermodynamique et un réacteur biogéochimique couplant océan, glaces de mer et atmosphère. D'une part, les grandes quantités de chaleur transportées par l'océan sont évacuées vers l'atmosphère. Elles contribuent donc au fonctionnement dynamique de celle-ci, c'est-à-dire à ses flux de chaleur et à ses vents… qui affectent les courants océaniques. De même, ces échanges de chaleur entre océan et atmosphère déterminent l'étendue des glaces de mer, car celles-ci se forment quand les eaux de surface se refroidissent suffisamment. Or, les glaces de mer déterminent en retour ce bilan d'échange de chaleur, parce qu'elles réfléchissent la lumière du soleil bien mieux que l'eau de mer et parce qu'elles forment des couches isolantes. D'autre part, l'océan contrôle le cycle de l'eau sur Terre les échanges de chaleur entre océan et atmosphère se font en grande partie sous forme de transfert de chaleur latente, lorsque l'eau de l'océan s'évapore, puis se condense dans l'atmosphère. En moyenne, il s'évapore près d'un mètre par an à la surface des océans. Seulement 10 % de cette eau tombe par précipitation sur les continents pour alimenter les rivières. 90 % précipite directement sur l'océan. Bien sûr, il y a un excès d'évaporation dans les zones tropicales, et un excès de précipitations aux plus hautes latitudes. Plus curieusement, on observe également un excès d'évaporation dans l'océan Atlantique, l'atmosphère se chargeant de transférer cette eau vers l'océan Pacifique. Ces transferts affectent d'une part l'océan, puisqu'ils induisent des changements de salinité, et donc de densité de l'eau de mer ; c'est ainsi que l'océan Atlantique est plus salé que l'océan Pacifique. Ils affectent aussi l'atmosphère, puisque la condensation de la vapeur d'eau est une source d'énergie interne de l'atmosphère, et que la vapeur d'eau comme les nuages produisent un effet de serre, et modifient les transferts de rayonnement dans l'atmosphère. Le cycle océanique du carbone établit également des couplages entre la physique et la biogéochimie de notre planète. Tout d'abord, les courants océaniques contrôlent les transports de carbone dans l'océan, soit directement par transport des composés chimiques dissous dans l'eau, soit indirectement, par le transport des nutriments nécessaires à l'activité biologique ; celle-ci joue un rôle clé dans la redistribution du carbone entre les couches de surface et les couches profondes de l'océan, ainsi que vers les sédiments marins voir l'article de Catherine Jeandel et Yves Dandonneau. Comme la production de phytoplancton constitue le premier maillon de la chaîne biologique de l'océan de surface, c'est tout l'écosystème marin qui est ainsi couplé au système physique. D'autre part, la répartition du carbone dans l'océan et les sédiments se traduit par une relativement faible concentration de carbone à la surface de la mer, qui à son tour maintient une faible quantité de gaz carbonique dans l'atmosphère. Cette faible concentration a une conséquence physique, puisque ce gaz crée un effet de serre dans l'atmosphère, et une conséquence biologique, puisque notre planète a pu ainsi développer la biosphère que nous connaissons. La machine climatique est un système dynamique et donc soumis à des fluctuations à toutes les échelles Tout d'abord, les courants marins sont animés de fluctuations dites " mésoéchelles ", analogues aux dépressions atmosphériques ; ces instabilités des courants contribuent à dissiper l'énergie du système sous forme de cascades turbulentes. Ces phénomènes agissent peu sur les autres composantes du système Terre, mais dépendent des structures à plus grandes échelles d'espace, comme le Gulf Stream dans l'océan, ou les fronts dans l'atmosphère. En revanche, les grandes structures du système climatique sont essentiellement propres au système couplé, et ce sont des fluctuations dynamiques de tout le système qui les font varier les modifications d'une composante affectent les autres qui réagissent en retour sur la première aussi bien que sur toutes les autres… Les exemples les plus importants sont le phénomène El Niño appelé aussi ENSO pour El Niño – Southern Oscillation et l'oscillation Nord-atlantique NAO en anglais. Ce qui frappe dans ces phénomènes, ce sont leurs constantes de temps, de quatre à six ans pour ENSO, ou de huit ans pour la NAO. En effet, celles-ci sont surtout contrôlées par les mécanismes dynamiques de l'océan, et les ajustements de celui-ci à des modifications des forçages atmosphériques sont lents. En effet, comme il est stratifié, ces ajustements doivent se faire dans la masse de l'eau, à l'interface entre les couches chaudes de surface et les couches froides du fond. Ces fluctuations des grandes structures se transmettent vers les petites structures qui en dépendent ; ainsi, l'intensité et la trajectoire des dépressions atmosphériques en Europe varient avec la NAO. Elles induisent en outre des fluctuations du cycle du carbone et de tout l'écosystème. On remarque ainsi des baisses temporaires de la concentration de gaz carbonique dans l'atmosphère associées aux phases chaudes du phénomène ENSO ces années-là, dans la région de l'océan Pacifique tropical comprise entre 20° N. et 20° S., le flux de carbone, qui va en moyenne de l'océan vers l'atmosphère dans cette zone, est réduit de 50 %. Il y a un grand nombre d'autres phénomènes de fluctuation climatique moins connus qu'ENSO. Compte tenu des échelles de temps mises en jeu dans l'océan, on peut d'ailleurs s'attendre à trouver des phénomènes séculaires, mais les observations permettant d'éventuellement les détecter sont beaucoup trop rares. Comprendre et suivre ces fluctuations naturelles du climat est important en relation avec le changement climatique. D'une part, ce sont les témoins des mécanismes dynamiques en jeu dans le système Terre. D'autre part, il est nécessaire de séparer les phénomènes d'origine anthropique des variations naturelles du climat. Enfin, le changement climatique peut induire des modifications des fluctuations naturelles. Impacts des changements climatiques sur l'océan L'activité de l'homme explique vraisemblablement le réchauffement de 0,7 °C observé depuis un peu plus d'un siècle. Quel est l'effet sur l'océan ? Tout d'abord, l'océan absorbe environ 30 % du gaz carbonique injecté par l'homme dans l'atmosphère. Ensuite, il absorbe la chaleur en excès dans les couches de surface, le réchauffement observé est semblable à celui de l'atmosphère. Compte tenu de l'énorme capacité calorifique de l'eau, cette absorption est un ralentisseur du réchauffement. À cette échelle de temps, cette chaleur est répartie dans l'océan, par les courants de subsurface et par la circulation thermohaline, mais pas de façon homogène puisqu'il faut plus d'un millénaire pour homogénéiser l'océan. C'est bien ce que montrent les simulations numériques, mais c'est difficile à observer. Cependant, comme on a affaire à un système dynamique, on n'assiste pas seulement à une accumulation passive de gaz carbonique et de chaleur dans un océan fonctionnant sans autre changement. Tout d'abord, un tel réchauffement doit s'accompagner par une évaporation plus forte et des précipitations plus abondantes, là où il pleut. Il se traduit aussi par une fonte des glaces de mer en mer Arctique, elles auraient diminué de 30 % en épaisseur en quarante ans, des glaciers ou du permafrost. Cette eau douce arrive à l'océan et c'est donc aussi la salinité de l'océan qui est affectée, avec des conséquences importantes sur la répartition de densité des eaux et donc sur les courants. Les conséquences sont variées. D'une part, la structure thermodynamique méridienne de l'océan et de l'atmosphère serait modifiée, parce que les zones tropicales se réchauffent moins vite que les hautes latitudes. Ensuite, les fluctuations naturelles pourraient être affectées, parce que les échanges de chaleur à la surface de l'océan sont modifiés, et parce que la stratification et donc la dynamique interne de l'océan seraient changées. On se demande d'ailleurs si l'apparente augmentation statistique de l'intensité et de la fréquence des événements ENSO depuis une cinquantaine d'années est une conséquence du réchauffement climatique. Le plus spectaculaire, et potentiellement le plus grave, serait d'éventuelles bifurcations dans le fonctionnement du système. À cet égard, l'océan Atlantique Nord est le plus sensible. En effet, les simulations numériques indiquent que les apports d'eau douce à l'océan pourraient réduire la densité de ses eaux, et donc réduire, voire bloquer, la formation des eaux profondes dans les mers Arctiques. Dans ces conditions, les transports d'eaux chaudes du Gulf Stream vers le nord seraient réduites, et tout le climat de l'Europe du Nord serait nettement plus froid. Ainsi, un réchauffement global peut se traduire par un refroidissement régional intense. Il faut noter qu'alors le cycle océanique du carbone et l'écosystème marin sont également affectés ; cela modifie la part d'absorption du gaz carbonique par l'océan, les simulations numériques indiquant que cela l'augmente. Les enregistrements paléoclimatiques montrent que de telles bifurcations sont arrivées naturellement, depuis la dernière période glaciaire, et qu'elles se déclenchent en quelques décennies. Cette question est actuellement à l'origine de grands programmes d'études de l'Atlantique Nord, en particulier par les Anglais et les Norvégiens. Effets " secondaires " On observe enfin des conséquences plus secondaires, au sens où elles n'agissent pas beaucoup sur le reste du système Terre. Cela ne veut cependant pas dire qu'elles soient moins importantes pour l'homme ! La plus citée est l'élévation du niveau de la mer qui aurait atteint 1,8 mm par an au cours du XXe siècle. Cette valeur découle cependant d'un échantillonnage très imparfait de données de marégraphes, dont les mesures sont ponctuelles et affectées par de nombreux phénomènes régionaux. Les données du satellite altimétrique Topex-Poséidon ont au contraire l'avantage d'être réparties de façon homogène et globale sur l'océan. Au cours des dix dernières années, elles ont montré une élévation de 3,1 mm par an, mais celle-ci est fortement affectée par le stockage temporaire de chaleur dans l'océan Pacifique tropical associé au phénomène ENSO de 1997-1998, et à la dilatation de cet océan qui en est résulté. Au moins un tiers de l'élévation séculaire serait dû au réchauffement et à la dilatation des eaux, mais les données de température dans l'océan sont trop mal réparties pour que cette estimation fasse l'objet d'un consensus. Les données satellites ont d'ailleurs montré qu'on n'a pas affaire à un phénomène homogène à l'échelle du globe et que le niveau de la mer s'élève rapidement dans certaines zones par exemple, la Méditerranée orientale s'élève de plus d'un centimètre par an, mais au contraire baisse dans d'autres zones. Cela s'expliquerait par la répartition inhomogène du réchauffement de l'eau des océans. Les conséquences de l'élévation du niveau de la mer sur les côtes – et donc pour l'homme – peuvent être très importantes. Cependant, il ne faut pas y penser comme à l'effet d'une baignoire qui déborde sur les continents, parce que les zones côtières sont des systèmes dynamiques où chaque situation locale est un cas particulier voir l'article de Fernand Verger. Une deuxième conséquence concernerait les phénomènes extrêmes. D'une part les modifications des structures thermiques de l'atmosphère pourraient favoriser l'apparition de tempêtes dans les zones tempérées. Il faut noter cependant que la rareté de ces phénomènes ne permet pas aujourd'hui de disposer de statistiques fiables sur leur occurrence. D'autre part, l'élévation du niveau de la mer augmenterait la fréquence des surcotes importantes lors des conjonctions entre tempêtes et marées hautes. Celles-ci sont la cause d'inondations côtières souvent catastrophiques, notamment dans l'estuaire de la Tamise et aux Pays-Bas. Une troisième conséquence importante pourrait concerner l'écosystème marin. Celui-ci est en effet très sensible à la température de l'eau, car les poissons recherchent les zones où leur efficacité physiologique est optimale. Ainsi observe-t-on de plus en plus fréquemment des poissons tropicaux dans le golfe de Gascogne, et ce toujours plus au nord. Observerait-on déjà un effet du réchauffement climatique sur l'écosystème ? Là encore, on ne dispose pas des données permettant de comprendre ce qui se passe, d'autant que l'écosystème marin est principalement et fortement affecté par les activités de pêche voir l'article de Jean-Paul Troadec. Conclusion Ainsi, l'océan est-il une composante clé du système Terre, qui couple toutes ses composantes entre elles. Il faut retenir aussi que le changement climatique est une réalité d'aujourd'hui, et qu'à priori, c'est le comportement dynamique de tout le système, de la physique à l'écosystème, qui pourrait en être affecté. Comme ces changements pourraient être de grande ampleur, et potentiellement imprévisibles, il est indispensable de surveiller le système, et en particulier l'océan, pour les détecter à temps. Au vu de son fonctionnement, cela doit se faire de façon continue et globale. Comme le problème des gaz à effet de serre est inévitablement là pour plusieurs siècles, c'est à un outil pérenne qu'il faut penser. Cette idée fait son chemin mais cette surveillance reste bien difficile à mettre en place. Océans et littoral
Uncourant du Pacifique qui longe les côtes de l'Amérique du sud, influence le climat de la presque totalité de la Terre. Le Pacifique est le plus vaste océan de la Terre. Sa superficie est supérieure à celle de toutes les terres émergées réunies. L’explorateur Fernand de Magellan l’a baptisé Pacifique à cause du temps clément

Il est important pour aborder cet article de comprendre pourquoi la pêche au Big Bait est la pêche la plus efficace sur le brochet, et encore plus sur les gros brochets. Le choix du leurre La grande majorité des poissons , y comprit certains carnassiers surtout lorsqu'ils n'ont pas atteint leur taille adulte, vivent en banc. C'est un comportement visant à se protéger des prédateurs, cela leur permet d'une part d'économiser de l'énergie on se déplaçant grâce au courant crée par le banc, mais aussi à tromper les carnassiers en montrant une masse gigantesque de poissons, certains peuvent se défendre comme les plus grosses perches, pour d'autres comme les gardons, ils peuvent se diviser afin de créer la confusion lors de l'attaque, le brochet ne sachant pas ou fixer l'attaque. Comment les brochets font alors ? Ils sont simplement à l'affut d'une brebis égarée qui sortirait du banc, il cherche une proie vulnérable et plus elle est grosse mieux ce sera, il n'aura pas à répéter les attaques pour se nourrir, évitant ainsi de se faire repérer et de mettre en garde les bancs environnants. Les attaques de brochets sont soit de nature alimentaire, soit territoriales. Partant de ce principe, pêcher avec des gros leurres va permettre de stimuler aux maximum leurs instincts de prédateurs, agissant par pure rationalité, les brochets se déplaceront beaucoup plus facilement sur des grosses proies faciles à saisir de manière à maximiser leur ratio dépense énergétique/calories gagnées. Pêcher lentement vous assurera également de vous démarquer de la majorité des pêcheurs qui passent bien trop rapidement, rappelons le, les brochets attaqueront prioritairement des proies vulnérables, un soft swimbait comme le Salmon Shad de 18-25 centimètres est idéal dans 99% des situations, vous pourrez l'animer à des vitesses très faible, voir quasi nuls avec de léger coups de cannes pour activer le paddle et le laisser retomber. Énormément d'attaques se produiront au moment de vulnérabilité ultime, la pause. Les zones à prospecter Pour trouver les brochets, il va donc falloir d'abord trouver les blancs, en fonction de la saison les postes évoluent et il convient de s'adapter au fil des mois. Février à Mars C'est la période de reproduction des brochets, ils vont progressivement s'installer du large vers les zones peu profondes puis sur les frayères roseaux et herbiers En mars, ils seront très peu mobiles et calés dans les obstacles en attendant le réchauffement des eaux qui coïncidera avec la montée des bancs de blancs et de perches .Certains poissons isolés peuvent se trouver en bordures qui ne sont pas des frayères mais ils y seront rares. Avril/Mai Les eaux se réchauffent et ils vont sortir des frayères pour se disperser autour des plateaux les plus profonds mais rarement s'y aventurer, plus on s'approche de fin mai plus ils seront concentrés , ils commencent à se regrouper autours des boules de blancs en fraie pour chasser. Juin Comportements semblables au mois de mai avec des poissons qui vont commencer à s'écarter des bordures pour se positionner en pleine eau. Juillet/Aout Mis à part les brochetons , il ne restera plus aucun brochet en bordure, ils seront quasiment tous positionnés près du fond dans les zones les plus fraiches, souvent à + de 4 mètres en fonction de vos plans d'eau, certains s'approcheront des cassures mais ils seront majoritairement calés au comportement s'exacerbera avec les chaleurs en aout. Septembre Période de transition, ils seront dispersés sur les plateaux et dans les roseaux avec peu de déplacements au sein d'une même journée. Octobre Beaucoup de déplacements, la plupart vont sillonner les cassures/plateaux et certains se trouveront même en pleine eau. Novembre/Décembre/Janvier En novembre, ils feront des aller retours sur les cassures pour décembre, ils seront très mobiles et longeront les bordures souvent à plusieurs individus dans une même en janvier avec des poissons tout de même moins mobiles. Mis à part pendant leur période de fraie, les brochets seront actifs toute l'année et il conviendra de les trouver et de comprendre leurs comportements au fil du temps même si le guide du dessus vous donnera une base solide pour aborder vos spots. N'oubliez jamais que la pêche des gros brochets requiert beaucoup de patience et qu'il suffira d'une seule touche pour refaire toute votre journée de pêche, la persévérance allié à une méthode rigoureuse paye toujours dans la pêche au Big Bait.

Lapremière étape sera de reconnaître, explicitement, le rôle de l’océan profond dans l’atténuation du changement climatique, la sensibilité particulière des espèces profondes et les effets qu’elles pourraient exercer sur la surface des océans ou l’atmosphère. La régulation des excès de CO2 et de chaleur a un coût pour les organismes des grandes profondeurs qui peut avoir
Découvrez l’explication de la fin de la Saison 1 de The Wilds sur Amazon Prime Video !La Saison 1 de The Wilds est disponible sur Amazon Prime Video ! Si vous avez besoin d’explication concernant la fin de la Saison 1, lisez la suite ! Les histoires de survie sont immensément populaires de nos jours. Mais The Wilds donne une tournure unique au genre en combinant le récit avec l’angoisse des adolescents. Mettant en vedette Rachel Griffiths, Sophia Ali, Shannon Berry, Sarah Pidgeon, Erana James et Jenna série est tout aussi crue et fascinante. De plus, elle nous rappelle à quel point nos vies sont vraiment fragiles et comment un seul moment peut tout changer. Avant de continuer si vous souhaitez savoir si une deuxième saison va voir le jour, lisez ceci. Si vous souhaitez en savoir plus sur la fin de la saison 1, nous sommes là pour vous et Daniel sont vus en train de discuter avec une fille nommée Leah de son expérience récente. Grâce à des flashbacks, nous découvrons qu’elle fait partie d’un groupe qui était dans un avion pour Hawaii pour une retraite de bien-être émotionnel appelée Dawn of Eve. Cependant, leur avion s’écrase, les laissant bloqués sur une île fil de la saison 1 de The Wilds, nous rencontrons les autres filles Dot, Fatin, Toni, Martha, Nora, Rachel et Shelby. Non seulement nous en apprenons plus sur leur passé. Mais nous voyons aussi le groupe travailler ensemble pour assurer leur propre survie. Cependant, il s’avère que l’accident d’avion n’est pas accidentel. Gretchen Klein, qui dirige le programme, mène en fait une expérience pour prouver la puissance de l’énergie la fin de la Saison 1 de The Wilds, il est révélé que Nora est le deuxième agent. Dans le flashback, Leah se réveille et agit de manière embarrassée, car elle était ivre la nuit précédente. Elle fait semblant de ne pas se souvenir du comportement suspect de Nora, mais va chercher elle-même des indices. Nora dit au QG qu’elle ne fait pas entièrement confiance à Leah. De retour à l’établissement, Leah lit la note que lui a donnée Shelby, qui affirme qu’elle a autre flashback révèle que Nora a rencontré un certain Quinn à l’université pendant la session d’été. Les deux sont aussi maladroits l’un que l’autre sur le plan social. Mais d’une certaine manière, ils travaillent bien ensemble. C’est comme s’ils étaient amoureux et qu’ils couchaient même ensemble. Puis, Nora lui présente Rachel, qui n’est pas sa plus grande fan. Par conséquent, lorsque Quinn demande à Nora d’être sa petite amie. Elle le rejette, arguant qu’elle ne voulait pas faire de la longue distance après la fin de la séance. Il blâme cependant Rachel pour leur rupture. Plus tard, Quinn meurt dans un accident de l’île, Leah cherche d’autres indices mais tombe dans un trou. Nora appelle le QG et leur dit qu’ils doivent venir chercher la fille. De plus, l’agent laisse Leah sur place. C’est alors que nous en apprenons plus sur la façon dont Nora et Gretchen se sont rencontrées. La première était allée en prison pour rencontrer Devon, la personne responsable du meurtre de Quinn, et aussi le fils de flash-back révèle qu’après une première petite discussion. Les deux femmes se sont mises à manger des crêpes et ont fini par avoir une conversation honnête sur les relations et les effets du patriarcat. Gretchen parle également de se libérer des griffes des constructions mises en place par les hommes. Elle finit par dire à Nora qu’elle veut aider Rachel et elle. C’est à cause de Nora que les frères et sœurs se sont retrouvés sur l’ temps réel, Leah a une crise de panique, et Kevin la laisse sortir un peu. Ils se rendent dans un petit jardin de l’établissement, où il lui dit qu’ils sont sur une petite terre près du Pérou et que l’expérience ne durera pas longtemps. Il affirme également que toutes les réponses qu’elle cherche arrivent. Nous revisitons l’île déserte où, avant d’être sauvés, Shelby et Toni parlent de leur relation. Elles se clarifient et s’embrassent même, indiquant qu’elles sont sérieuses l’une envers l’ finit par s’échapper du trou, et pendant ce temps, Rachel entre dans l’océan. Cependant, il y a un requin qu’elle ne remarque pas, et l’eau se remplit de sang. De retour dans les locaux de l’établissement, Leah tente de se libérer et quitte sa chambre après l’extinction des feux. Cependant, l’alarme se déclenche. De plus, Shelby fait un choc anaphylactique, pour lequel ils lui font une injection. Heureusement, Leah réussit à éviter de se faire prendre, mais elle se retrouve dans une pièce équipée de caméras de surveillance et d’un dossier intitulé Le crépuscule d’Adam ». Elle exprime son choc, et l’écran devient s’en sont ils sorti ?Nous savons déjà que les filles sont sous surveillance, de sorte que les gens du QG peuvent les sauver quand les choses se gâtent. Il y a déjà eu de nombreuses situations dont ils s’occupent clandestinement, comme par exemple s’assurer que certaines valises parviennent aux filles. Mais où les agents fixent-ils la limite ? Il est fort probable qu’après que Rachel ait été attaquée par le requin, Nora contraigne Gretchen et les autres agents à mettre fin à l’ tout, nous savons que Rachel finit par perdre sa main, mais il semble aussi qu’elle ait reçu un traitement médical adéquat pour ses blessures. De plus, au point culminant, Leah est assez méfiante, et Nora exhorte constamment les gens du QG à retirer Leah du programme également. Le point culminant de ces événements est ce qui a permis de sauver les filles, selon toute est l’intérêt du Crépuscule d’Adam ?Gretchen est tout à fait consumée par sa vision infâme d’un monde que les femmes peuvent contrôler. En fait, elle dit souvent qu’elle n’a rien contre les hommes. Mais que les femmes contribuent simplement davantage à créer une société compatissante et aimante. C’est pourquoi Gretchen a mis en place un programme appelé Dawn of Eve. Où elle attire faussement les candidats sous l’apparence d’un week-end de retraite pour son l’expérience de Gretchen vise à prouver que même au plus profond du désespoir, les femmes peuvent se rassembler et survivre, créant ainsi une communauté. Nos protagonistes finissent même par y parvenir dans une large mesure. Quelle est donc sa raison d’être pour mettre en place le Crépuscule d’Adam ? Et bien, Gretchen montre des tendances psychopathes avec des problèmes de contrôle. Elle est très intelligente, mais nous savons aussi qu’elle a été licenciée de son précédent emploi de lorsqu’elle déjeune avec son donneur, la dame souligne que même Gretchen aime pouvoir contrôler la vie des femmes de l’île. Si elle était vraiment en faveur de l’émancipation des femmes. Gretchen n’aurait jamais mis en place un programme comme Dawn of Eve. Il est également possible que l’incarcération de Devon ait un rapport indirect avec le Crépuscule d’Adam. Il y a un moment à la fin de la Saison 1 de The Wilds où Gretchen déclare que Devon a été soumis aux mêmes dures réalités qui ont fini par coûter la vie à Quinn alors qu’il se précipitait dans la manière tordue, cela pourrait être Gretchen qui essaie de trouver une sorte d’agence pour les actions de son fils. Après tout, elle prétend simplement que Devon perpétuait le même système, dont il faisait partie autrefois. Peut-être que la mère essaie d’en savoir plus sur la façon dont les hommes opèrent dans un environnement fermé afin de trouver quelque chose qui absout son fils, du moins dans son esprit. . 461 616 316 15 269 149 243 95

aussi profond que l océan fin