Des photos enregistrées en haute résolution prennent rapidement énormément de place sur un smartphone ou un espace cloud. Google dispose d'un outil de compression pour réduire la taille des images avec une perte minimum de vous intéressera aussi [EN VIDÉO] HenGenTou photos et peintures prennent vie grâce au mapping vidéo Des scientifiques nippons ont développé un système de mapping vidéo permettant à des photographies ou des peintures de s’animer. Voici en vidéo une démonstration de cette surprenante technique. L'espace mémoire exprimé en Ko, Mo ou Go occupé par une image dépend de sa taille exprimée en pixels mais également de son format jpeg, png, tiff... et de sa résolution en pixels par pouce. Une photo haute résolution peut facilement dépasser les 5 Mo et sur un smartphone, elle pèse environ 2 Mo. C'est-à -dire que l'on peut stocker au maximum photos sur un espace de 10 Go. Malheureusement, réduire la taille de ses photos implique généralement une perte de qualité, car le nombre de pixels s'en trouve Squoosh, Google dispose d'un outil en ligne utilisant les dernières techniques de compression et d'intelligence artificielle qui permet de minimiser la perte de qualité. L'application est particulièrement conçue pour les développeurs web qui veulent alléger la vitesse de chargement de leurs pages mais elle peut être utilisée par tout un chacun. Il suffit de choisir une photo ou de la faire glisser sur l'écran et de lancer le processus qui peut prendre une à plusieurs secondes. Le résultat est assez convaincant. Une image jpeg peut être réduite jusqu'à 70 % sans différence, ou presque, visible à l'oeil nu. La photo peut être convertie en 10 formats différents il est conseillé d'utiliser le MozJPEG, l'encodeur de Mozilla proposé par défaut, pour une réduction plus importante.Ajuster les paramètres de compressionLe véritable avantage de Squoosh est de pouvoir régler précisément chaque paramètre compression, grain, quantification... en cliquant sur réglages avancés » dans la fenêtre en bas à droite. Il est même possible de modifier et de réduire la palette de couleurs ou la diffusion d'erreurs. Un astucieux séparateur d'écran permet de comparer la photo avant/après, et d'ajuster au besoin les paramètres avant de télécharger la photo au format voulu. Seul inconvénient le site est assez gourmand en mémoire sur l' par ce que vous venez de lire ? Abonnez-vous à la lettre d'information La question de la semaine notre réponse à une question que vous vous posez, forcément. Toutes nos lettres d’information
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Cette intégration de l’environnement, dès l’amont est essentielle pour prioriser les étapes d’évitement des impacts tout d’abord, de réduction ensuite, et en dernier lieu, la compensation des impacts résiduels du projet, du plan ou du programme si les deux étapes précédentes n’ont pas permis de les supprimer. Le ministère définit la politique nationale en matière d’évitement, de réduction et de compensation des impacts environnementaux des plans, programmes ou des projets au travers des outils législatifs, tels que la loi pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages, et par la diffusion d’éléments méthodologiques comme les lignes directrices nationales sur la séquence éviter, réduire et compenser les impacts sur les milieux naturels qu’il porte à la connaissance de l’ensemble des acteurs de l’aménagement du territoire et du développement économique. Qu'est-ce que c'est ? La séquence éviter, réduire et compenser La séquence éviter, réduire et compenser les impacts sur l’environnement dépasse la seule prise en compte de la biodiversité, pour englober l’ensemble des thématiques de l’environnement air, bruit, eau, sol, santé des populations.... Elle s’applique, de manière proportionnée aux enjeux, à tous types de plans, programmes et projets dans le cadre des procédures administratives d’autorisation étude d’impacts ou étude d’incidences thématiques, Natura 2000, espèces protégées.... Sa mise en œuvre contribue également à répondre aux engagements communautaires et internationaux de la France en matière de préservation des milieux naturels. Dans la conception et la mise en œuvre de leurs plans, programmes ou projets, il est de la responsabilité des maîtres d’ouvrage de définir les mesures adaptées pour éviter, réduire et, lorsque c’est nécessaire et possible, compenser leurs impacts négatifs significatifs sur l’environnement. Publication des deux guides sur la mise en oeuvre de la séquence éviter, réduire, compenser Le principe éviter, réduire, compenser est fondateur pour concilier protection de la biodiversité, développement économique et aménagement du territoire. S’interroger sur sa mise en oeuvre est essentiel. Le guide La démarche d’évitement », publié simultanément avec l' Approche standardisée du dimensionnement des mesures de compensation », souligne l’importance de ces étapes. Première étape de cette séquence, l'évitement doit intervenir très tôt dans l’élaboration de nos plans, programmes et projets afin de proposer des aménagements avec un meilleur bilan écologique, socialement plus acceptables, plus résilients et économiquement viables. Le guide pour la mise en oeuvre de l'évitement vise à accompagner tous les acteurs concernés en leur proposant un mode d'emploi pas à pas, synthétique et pédagogique, pour mettre oeuvre une démarche optimale d'évitement à l’échelle des plans programmes et des projets, seule solution qui permette de s'assurer la non-dégradation de l'environnement. Troisième étape de la séquence éviter, réduire, compenser la compensation écologique intervient lorsque les impacts sur la biodiversité engendrés par des projets, des plans ou des programmes n’ont pu être évités ou réduits. Des mesures de compensation doivent alors être mises en oeuvre pour permettre de générer des gains au moins égaux aux pertes engendrées. Le guide de mise en oeuvre de l'approche standardisée du dimensionnement de la compensation écologique s’adresse à tous les acteurs concernés par la compensation écologique appliquée aux projets maîtres d’ouvrage, bureaux d’étude, services de l’État et collectivités territoriales, chercheurs, citoyens, etc. en leur offrant un cadre concret et standardisé décrivant les différentes étapes et les méthodes de la démarche. 8 étapes clés pour compenser les impacts d’un projet d’aménagement sur la biodiversité Afficher la version texte de la vidéo 8 étapes clés pour compenser les impacts d’un projet d’aménagement sur la biodiversité. Dans le cadre de la séquence éviter, réduire, compenser, la compensation écologique vise à générer des gains de biodiversité au moins aussi importants que les pertes qui n’ont pas pu être évitées ou réduites. Elle vise deux objectifs L’absence de perte nette de biodiversité, qui implique qu’aucun impact remettant en cause l’état de conservation de la biodiversité ne doit persister. L’équivalence écologique, qui implique que les mesures de compensation doivent cibler les mêmes habitats, espèces, et fonctions écologiques que ceux affectés par le projet. Étape 1 Les impacts sur la biodiversité sont-ils compensables ? Si les impacts touchent des éléments de biodiversité qui ne peuvent pas être remplacés, ou que l’ampleur des impacts est trop importante la compensation ne pourrait pas prévenir l’absence de perte nette de biodiversité. Les impacts sont donc non-compensables, le projet doit alors être repensé. Étape 2 Les impacts résiduels sont-ils significatifs ? S’ils perturbent, altèrent, ou détruisent des espèces ou des habitats au point de remettre en question leur état de conservation, ou des fonctions écologiques essentielles, les impacts sont significatifs et doivent alors être compensés. Si non, il n’est pas nécessaire de compenser. Étape 3 Les mesures de compensation sont-elles possibles ? S’il existe un ou des sites de compensation adaptés à proximité du projet et que les mesures de compensation envisagées sont réalisables techniquement, les mesures de compensation sont possibles. Si non, le projet doit être repensé. Étape 4 La méthode de compensation permet-elle d’évaluer l’atteinte de l'équivalence écologique ? La méthode de compensation doit être cohérente avec la réglementation, avec l’état actuel des connaissances écologiques, et elle doit être transparente, explicitée et justifiée. Si non, elle doit être complétée, ou changée. Étape 5 Les informations choisies pour évaluer les pertes et les gains sont-elles exhaustives ? Le tableau des informations requises pour le processus de dimensionnement recoupe les trois composantes de biodiversité à prendre en compte les espèces, les habitats, et les fonctions, et permet de vérifier que les pertes et les gains sont exprimés de manière comparable et exhaustive. Étape 6 Les mesures de compensation sont-elles conformes aux conditions législatives ? Les mesures de compensation doivent être efficaces, être effectives dès les premiers impacts, être effectives dans le temps, tant que dureront les impacts. Si non, il faut modifier les modalités de compensation, ou repenser le projet. Étape 7 L'équivalence écologique peut-elle être atteinte ? L’équivalence écologique peut être atteinte lorsque toutes les espèces, habitats et fonctions écologiques subissant des impacts résiduels significatifs font l'objet de mesures de compensation, dans les mêmes proportions, et en maintenant la même qualité fonctionnelle. Étape 8 L’état écologique du site compensé est-il bien conforme au résultat attendu ? L’efficacité de chaque mesure de compensation est suivie dans le temps. Si le résultat n’est pas conforme aux objectifs, il faut mettre en place des mesures correctives. Si le résultat est conforme, alors les mesures de compensation sont alors correctement dimensionnées, et l’équivalence écologique est atteinte ! Présentation de l'approche standardisée du dimensionnement de la compensation écologique MP4 - Mo Guide pour la mise en oeuvre de l'évitement concilier environnement et aménagement des territoires PDF - Mo Séquence ERC l'évitement. Fiche pratique à destination des porteurs de plans et programmes d’aménagement PDF - Ko Approche standardisée du dimensionnement de la compensation écologique le guide de mise en oeuvre PDF - Mo Séquence ERC synthèse. Une démarche pour intégrer l'environnement dans l'aménagement des territoires. PDF - Ko Évaluation environnementale la phase d’évitement de la séquence éviter, réduire, compenser PDF - Mo Évaluation environnementale guide d’aide à la définition des mesures ERC PDF - Mo Guide d’aide au suivi des mesures d’évitement, de réduction et de compensation des impacts d’un projet sur les milieux naturels PDF - Mo Évaluation environnementale classification des mesures ERC PDF - Ko La doctrine éviter, réduire et compenser les impacts sur le milieu naturel Dès 2009, le ministère a initié une réflexion avec l’ensemble des parties prenantes, dans le cadre d’un comité de pilotage national sur la séquence éviter-réduire-compenser, afin de bâtir une méthodologie nationale. Les travaux réalisés ont permis d’élaborer une doctrine nationale publiée en mai 2012, puis les lignes directrices, publiées en octobre 2013. La doctrine éviter, réduire et compenser s’inscrit dans une démarche de développement durable et vise à assurer une meilleure prise en compte de l’environnement dans les décisions publiques. Il s’agit de diffuser un corpus commun sur la façon dont les obligations découlant des textes législatifs et réglementaires peuvent être mises en œuvre par les maîtres d’ouvrages publics et privés, leurs prestataires et prises en compte par les services instructeurs. Ce document précise de façon simple les principes d’intégration de l’environnement homogènes à l’ensemble du territoire, avec pour objectif d’améliorer la qualité des projets tout au long de leur processus de conception, d’élaboration et de fonctionnement. La doctrine relative à la séquence éviter, réduire et compenser les impacts sur le milieu naturel PDF - Ko Les lignes directrices nationales sur la séquence éviter, réduire et compenser les impacts sur les milieux naturels Objectif des lignes directrices L’objectif des lignes directrices éviter, réduire et compenser est de fournir aux acteurs de terrain une méthodologie faisant consensus, leur permettant d’assurer une bonne mise en œuvre des mesures pertinence, qualité et d’en assurer le suivi et le contrôle. En cela, elles déclinent sur le plan méthodologique la doctrine nationale. Champ des lignes directrices La séquence éviter, réduire et compenser s’applique à toutes les composantes de l’environnement, mais les lignes directrices se focalisent sur les milieux naturels terrestres, aquatiques et marins cela comprend les habitats naturels, les espèces animales et végétales, les continuités écologiques, les équilibres biologiques, leurs fonctionnalités écologiques, les éléments physiques et biologiques qui en sont le support et les services rendus par les écosystèmes. Cibles des lignes directrices Les lignes directrices s’adressent à l’ensemble des acteurs concernés services de l’État, établissements publics, collectivités locales, entreprises, associations..., agissant en tant que maîtres d’ouvrage, maîtres d’œuvre, prestataires, services instructeurs, autorité environnementale, services de police environnementale et autres parties prenantes. Statut des lignes directrices Les lignes directrices constituent un document méthodologique, qui établit des principes et propose des méthodes à caractère non normatif. Ce document a été élaboré par un groupe de travail réunissant des représentants de l’État, d’établissements publics, d’entreprises et d’associations. Elles s’appliquent selon une réflexion propre à chaque cas, dans le respect du principe de proportionnalité. Adoptant une approche résolument pragmatique, les lignes directrices sont basées sur des retours d’expérience de bonnes pratiques et ne créent pas de prescriptions nouvelles. Lignes directrices nationales sur la séquence éviter, réduire et compenser les impacts sur les milieux naturels Lignes directrices éviter, réduire, compenser les impacts sur les milieux naturels déclinaison au secteur des carrières PDF - 51 Mo Plaquette - Lignes directrices éviter, réduire, compenser les impacts sur les milieux naturels déclinaison au secteur des carrières PDF - Mo L’offre de compensation Le ministère a lancé en 2008 une démarche d’expérimentation d’offre de compensation. L’enjeu est d’améliorer la mise en œuvre des obligations réglementaires de compensation des maîtres d’ouvrages, par la mutualisation et l’anticipation un opérateur d’offre de compensation anticipe la réalisation de travaux de restauration écologique au titre de la compensation, et propose ensuite des unités de compensation respectant un principe d’équivalence écologique à plusieurs aménageurs soumis à des obligations réglementaires de compensation. L’expérimentation nationale d’offre de compensation concerne une diversité d’opérateurs, de sites d’intervention, ainsi que de types d’écosystèmes et d’espèces, par le biais de quatre expérimentations L’opération Cossure » conduite par CDC Biodiversité en plaine de la Crau. L’opération Combe Madame » conduite par EDF en région Auvergne-Rhône-Alpes. L’opération sous-bassin versant de l’Aff » conduite par Dervenn en région Bretagne. L’opération yvelinoise » conduite par le conseil général des Yvelines. Ces quatre expérimentations sont issues d’un processus de co-construction qui a mobilisé le ministère, les services déconcentrés, et le conseil national de protection de la nature. Elles sont suivies par un comité de pilotage national, ainsi que par des comités de pilotage locaux animés par les directions régionales et associant les parties prenantes locales. La convention relative à l’opération Cossure » PDF - Mo L'engagement relatif à l’offre de compensation Combe Madame » PDF - Mo L'engagement relatif à l’offre de compensation sous-bassin versant de l’Aff » PDF - Mo L'engagement relatif à l’offre de compensation yvelinoise » PDF - Mo La reconquête de la biodiversité La loi du 8 août 2016 pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages, portée par le ministère, inscrit des principes forts dans le code de l’environnement et vient enrichir la séquence éviter, réduire et compenser, notamment par les points suivants L’objectif d’absence de perte nette de biodiversité, voire de gain, et l’obligation de respecter la séquence éviter, réduire et compenser pour tout projet impactant la biodiversité et les services qu’elle fournit est maintenant inscrit dans la loi. Si la séquence éviter, réduire et compenser n’est pas appliquée de manière satisfaisante, le projet ne pourra pas être autorisé en l’état. L’article 69 de cette loi apporte la reconnaissance des sites naturels de compensation, agréés par le ministère accompagné de la création du statut d’opérateur de compensation écologique. Le texte de loi identifie les trois modalités de mise en œuvre de la compensation le maître d’ouvrage peut réaliser lui-même les mesures, faire appel à une tierce partie, ou encore recourir à l’acquisition d’unités de compensation écologiquement équivalentes d’un site naturel de compensation agréé par l’État. Cette dernière modalité est une nouvelle possibilité offerte par la loi. La nature des compensations reste précisée par le maître d’ouvrage dans l’étude d’impact et ce dernier reste l’unique responsable de l’efficacité de la compensation. L’article 69 concrétise le suivi des mesures compensatoires par la création d’un outil informatique de géolocalisation des mesures compensatoires. Ce dernier permettra un meilleur suivi des engagements des maîtres d’ouvrages et d’éviter notamment que des sites dédiés à des mesures compensatoires ne soient utilisés dans le cadre d’autres projets d’aménagement. L’autorité administrative pourra demander au maître d’ouvrage des garanties financières pour assurer la réalisation des obligations de compensation écologique. L’agence française de la biodiversité assurera notamment le suivi des mesures de compensation des atteintes à la biodiversité. L’article 72, quant à lui, offre la possibilité sous forme de contrat nommé obligations réelles environnementales » entre une collectivité publique, un établissement public ou une personne morale de droit privé agissant pour la protection de l’environnement et un propriétaire de pérenniser dans le temps et au fil des différents propriétaires, des obligations qui ont pour finalité le maintien, la conservation, la gestion ou la restauration d’éléments de la biodiversité ou de fonctions écologiques dans un espace naturel, agricole ou forestier. » La charte d’engagement des bureaux d’études L'évaluation environnementale et la demande d'examen au cas par cas
ouun meuble TV intégré. Pour réduire le risque d’incendie, Utile pour profiter des films à un faible volume sonore. DRC s’applique aux sources Dolby Digital. Appuyez sur AUDIO pendant 5 secondes puis sur VOICE pendant 5 secondes pour allumer ou éteindre Dolby DRC. Écoute de la musique depuis un périphérique BLUETOOTH L’appariement est le processus nécessaire pour