Séance3 L'huître (correction) Introduction Contexte. Le Parti pris des choses de Francis Ponge est un court recueil de 32 poèmes en prose (1) publié durant l’Occupation (1942) et qui prend pour matière les objets les plus humbles (un galet, les escargots, un cageot), ce qui fera dire à François Mauriac dans Le Figaro que Ponge est le « poète des objets les plus insignifiants ».
Harry Potter 2005 ~¤~ Académie de Poudlard ~¤~ Le ParcAtana MarkoffSerpentard Re Le potagerAtana Markoff, le Ven 7 Aoû - 1753 A la merci de la grande petite Nymphadora la jeune OdP se demandait bien quelle idée complètement décalé pouvait bien traverser son esprit ... C'est donc quelque peu réticente et inquiète qu'elle s'apprêtait à écouter l'histoire de ce Harry Cot ... Elle n'eut pas le temps de protester qu'elle se retrouvait déjà avec des haricots dans le nez ... Elle écarquilla les yeux et fut convaincu de la défiance mental de son amie. Toutefois celle-ci fut assez gentille pour les lui retirer bien vite et souffler dedans ... Atana se faisait l'effet d'être un petit monkey que sa maman dorlotait et nettoyait. A quand la recherche de poux ? Atana avait maintenant le nez qui la grattait férocement. Elle plissait le nez furieusement pour faire passer les démangeaisons alors que sa bougresse s'était déjà relever le regard fix et presque brillant comme si elle avait vu le Messy ... Atana s'en inquiéta mais préféra se pencher sur son problème nasal. Merlin mais que met Argan dans ses haricots ... ? Enfin bref après cet inter-monologue des plus intéressant Atana se rendit compte qu'elle était seule et "libre" sur le sol boueux et instable d'Argan. Elle regarda Nymphadora de haut en bas et un sourire coquin apparut sur ses lèvres ...Elle se releva et changea ses vêtements en bikini. La pluie lui fouetta les bras et la rafraichit d'un coup ce qui la fit frissonner mais ce qu'elle avait en tête était bien plus ... passionnant. Elle ne prit que quelque minutes avant de mettre à nu sa nouvelle amie ... A nu bien grand mot, mais il est vrai que le bikini ne recouvrait que peu de la peau de la jeune fille au plus grand plaisir d'Atana. Elle la trouvait même hilarante avec juste ses extrémités recouverte de boue. Tout à son spectacle elle ne vit pas Nympha' lui sauta dessus pour la rouler dans la boue. Mais quelle coquine comme quoi l'habit ne fais pas le moine ... Et surtout qu'elle tigresse, on nous avait caché que les lions étaient fougueux ! Le baiser qui lui donna Nymphadora la surpris autant qu'il lui enflamma les lèvres au sens propre du terme ... Atana se mit à tousser, décidément cette gryffondor était pleine de ressources ... Mais si elle comptait s'en sortir indemne c'était très mal connaître la jeune ex-serpy, elle la retourna pour pouvoir la dominer et pu constater que cette petite partie du jeu plaisait grandement à Nymphadora ... Bon à savoir. La jeune entreprenante s'empara une nouvelle fois des lèvres d'Atana avec cette fois-ci plus de douceur et moins de ... piquant, bien que l'effet longue durée du piment se faisait encore ressentir. Pas mal mais si la Gryffondor appelait ca un baiser on était bien loin du compte ... Tu appelles ça un baiser ? Tu es bien loin du compte ...Atana s'approcha de la jeune Gryffondor et s'empara de ses lèvres après avoir balayé son souffle dessus, elle plongea son regard dans celui de la Magenmage et s'amusa à la troubler avec son apparence de Vélane ... Mais si elle n'est pas attiré par les filles ca risquait d'être long. Elle lui donna douceur et tendresse répondant au corps pressant de Nymphadora. Elle avait perdu toute notion de froid, de lieu et de temps lorsqu'elle reçu une énième tomate dans la nuque brisant tout le charme de cet instant ... Atana se redressa toujours assise sur Nymphadora et esquiva une tomate volante qui s'applatit en magnifique "Splash" sur le visage de la jeune banquière. La jeune brune ne put s'empe^cher de rigoler mais du bien vite se rendre à l'évidence rigoler avec une tomate pas mur qui vous tombe dessus il y a mieux ...Deux baguettes partirent en direction du pauvre épouvatail qui explosa en potiron pas mure ... le tout abîma au passage les bouteilles d'alcool qu'avait apporté Nymphadora. Mais c'est que tu ramènes tes réserves en plus ! Cachottière !La jeune brune se dépêcha d'aller sauver les pauvres rescapées d'une mort certaines mais c'était sans compté sur la dextérité de la mangenmage. Atana se retrouva la tête la première dans de la crème au citron en guise de sol. Elle tenta de se redresser mais ce truc était encore plus gluant qu'un sable mouvant ... Alors ma vieille ?! T'as du mal ?Atana n'eut qu'à tendre la main pour attraper la cheville de Nympah' qui passait par là. Elle la fit chuter au sol et se jeta de tout son corps sur celui glissant de la jeune fille. Elle luttèrent ainsi en poussant des grognements des plus sexy. Les cadavres de bouteilles les regardaient en espérant l'une d'elles prennent le dessus et les portent à leurs lèvres ... Atana se retrouva sur le dos mais se remit bien vite en position de domination Avoue que tu préfères ... Pour toute réponse Nymphadora se glissa tel un poisson jusqu'au bouteille après qu'Atana les ai faites léviter au dessus de leur tête. L'ex-Serpy en prit une et la porta à ses lèvres tout en se mettant debout ... et en esquivant les "attaques" de Nymphadora Alors que fait-on pour avoir une jolie petite bouteille ? Nymphadora LupinLégendeGryffondor Re Le potagerNymphadora Lupin, le Lun 10 Aoû - 423 Etait-ce le baiser d'Atana qui la rendait ainsi ou était-elle depuis toujours, au fond d'elle, à voile et à vapeur ? Peu importe, si elle préférait les lèvres sensuelles d'une demoiselle à celles rugueuses d'un jeune homme, là pour le moment, elle comptait profiter à fond de cet instant d'intimité avec la jolie vélane. Vélane qui usait de ses charmes sur l'esprit, déjà troublé, de la jeune Magenmage. Elle aurait aimé que cela dûr encore des heures voir même des jours, mais bien sûr, c'etait sans compter sur l'intervention d'une tomate, qui sentait plus l'huitre qu'autre chose. Comme d'un commun accord, elles détruisirent en même temps le faiseur de troubles. La jeune prof avait une belle vue, car elle capta les deux ou trois bouteilles qu'avait amenées Nymphadora, elle ne comptait pas les boire avec elle, c'était prévu pour Argan. Son plan était simple, elle faisait boire le garde-chasse et, une fois saoule, elle profitait de lui, de son corps plus précisément... Qu'est-ce qu'on ne ferait pas pour ne pas terminer jeune fille. Mais... Mais... Quelle imbécile finie, elle pourrait facilement faire la même chose avec la belle Atana, depuis le temps qu'elle rêvait de prendre une douche à deux. Mais la chose était beaucoup plus difficile à faire qu'à dire et elle dut engager une lute au corps à corps, pour ne même pas récuperer une seule bouteille. Cela ne la dérangeait pas trop, elle avait eu le bonheur d'effeurer, de sa main, certains endroits d'Atana, que je ne vous décrirais pas , mais qui la rendaient de bonne humeur. Une nouvelle fois soumise, elle se mit à l'évidence elle adorait être dans cette situation. Alors que fait-on pour avoir une jolie petite bouteille ?Je pourrais faire tellement de choses que tu n'aurais pas assez d'une vie pour toutes les énumerer. Nymphadora se mit a dandiner dans la boue, effectuant une danse qu'elle pensait sexy, si vous prenez en compte le fait que la jeune banquière ne connaissait pas la définition du mot sexy, elle avait plus l'air ridicule qu'autre chose. Agacée par les sourires narquois de sa compagne, elle prit sa baguette et fit exploser la bouteille qu'Atana tenait entre ses mains. Le liquide alcoolisée se répendit sur son corps et Nymphadora s'empressa de le boire à même la source. - C'est encore meilleur ainsi, ma prit les autres bouteilles et porta le goulot à ses lèvres, faisant glisser le liquide rosâtre le long de sa gorge. Aux regards envieux d'Atana, tout le monde aurait pu se rendre compte que cette dernière avait soif. Nymphadora prit une dernière gorgé avant de poser ses lèvre sur celle de la vélane, faisant passer l'alcool d'une bouche à l'autre. Elle en profita pour l'embrasser de nouveau et se rapprocher un peu plus d'elle. C'est vrai qu'elle n'était pas vélane, mais elle espérait vraiment faire tomber Atana sous son charme. Une fois les trois/quatre dernières bouteilles enfilées à elle deux, les deux jeunes femmes étaient plus que pleines. La preuve, elles étaient couchées l'une sur l'autre et se racontaient des histoires stupides sur les membres de l'ordre ou mangemorts. C'est maintenant que tout se jouait pour Nymphadora, maintenant qu'elle se prenait un vide ou maintenant qu'elle allait passer le plus beau moment de sa vie, pour l'instant... Elle se releva, embrassa sa compagne du bas du ventre jusque dans le creux de l'oreille et lui susurra son envie - Ca te dit de prendre une douche avec moi dans la cabane du garde-chasse ? Derrière le rideau blanc et à l'abris des petits curieux, on serait libre de faire tout ce qu'on veut. Actarius BrightSerpentard Re Le potagerActarius Bright, le Mar 22 Fév - 132 Était-ce l’effet l'ennuie et la monotonie? Ou les regrets...? Ou encore la vie elle-même? Quoi qu'il en soit, le jeune homme se sentait dérouté, en proie à une profonde descente en chute libre. Qu’espérait-il exactement ? Devenir l’homme le plus puissant du monde magique ? Oh non… C’était un rêve de jeunesse qu’il avait tôt fait d’oublier. Alors ? Atteindre la perfection ? Difficile à réaliser ; et puis l’homme en son essence même n’est pas fait pour être parfait alors, quelqu’un comme lui, Actarius… Encore un rêve qu’il avait oublié bien assez vite. Ou encore ? Ou… ? Que lui restait-il de rêve, somme faite ? Pas grand-chose tout compte fait. Du moins, il n’avait plus aucun rêve, plus aucun objectif… Il ne savait plus où donner de la faisait un peu plus d’une semaine qu’il n’avait pas pied dans sa propriété, aussi bien principale que celle secondaire. Il ne s’y sentait plus chez lui, bien qu’il se soit battu des années durant pour obtenir cette aisance matérielle. Aussi avait-il déserté la maison pour se réinstaller dans sa cabane de Garde-Chasse à Poudlard, accompagné de son seul » et fidèle ami, le phénix matin-là, Perceval, pour passer son mal-être grandissant avait envisagé de s’envoler pour une longue ballade au côté de son phénix et avait finalement opté pour se défouler physiquement. Au moins il pourrait entretenir son potager laissé à l’abandon depuis quelques jours mais aussi et surtout, cela lui permettrait de penser à autre chose que les ténèbres qui s’instauraient en son être. Ne serait que quelques instants, quelques heures…S’étant donc armé d’une paire de botte de travail en caoutchouc, pratique dans son cas, Actarius s’en alla, un grand sac de cuir ovale à l’épaule, en balade » dans la forêt interdite qu’il connaissait, foi, fort bien depuis le temps qu’il s’y promenait –autant quand il fut élève que maintenant en Garde-Chasse-. Il revint sur ses pas, à peu près une heure plus tard après son départ, le sac plein de ce dont pourquoi il était allé fouiller en forêt du fumier et de la matière organique en décomposition. Évidemment, le sac plein qu’il ramena était sous scellé ; vaut mieux de fois qu’ s’adonna par la suite au désherbage de la terre, retirant, manuellement, chaque pousse de mauvaises herbes qu’il trouvait. Le temps avançait vite, le soleil continuait inlassablement sa course dans le ciel et lui, comme il l’avait espéré, se sentait bien, à travailler de ses dix doigts, comme un vulgaire » moldu. Le Garde-Chasse ne se pressait pas pour achever sa tâche, puisque l’engrais disséminé un peu partout dans le champ, il fit durer le plaisir, arrosant allègrement les plantes, fruits et légumes qui poussaient là. Mais il fallut bien s’arrêter. Le jardin n’était malheureusement pas si gigantesque que cela. Il continuait de jouer avec l’eau et il aurait tôt fait de noyer les sa paire de gant de jardinage et ses bottes en latex, il retourna à l’ombre de sa cabane et fonça directement sous la douche. Il se senti aussitôt mal de C’est quoi cette vie de Mer** ?!Oh oui, avec la blaz’attitude », même lui, jeune aristocrate qu’il était, ou du moins, qu’on lui avait appris à être, ne put s’empêcher de débiter mille et une obscénités ; tout ce qui lui passa la tête –et que nous éviterons de citer de vive écriture, pour ne pas dire, de la salle de bain, il s’en alla prendre un petit-déjeuner des plus banales après s’être brièvement chouchouté » le physique. Ce n’est parce qu’il n’allait pas bien à l’intérieur que l’extérieur devait en faire l’écho. Son petit-déjeuner bien au fond du trou » qui lui servait d’estomac –comme à tout autre-, il demanda à son phénix de le suivre et sorti alors que celui-ci se posait sur ses épaules. Il s’avança de quelques pas et laissa son regard se porter sur l’une des tours du château… Le bureau du Directeur de Poudlard, ou dans ce cas, de la Directrice. Il mourrait d’envie d’utiliser son don d’Animagus pour améliorer sa vision et observer au travers de sa fenêtre, mais il se résigna à le faire. Il était des choses auxquelles il ne fallait penser. Elle –la complicité qu’il avait eut- était de ces jeune Bright porta un dernier regard sur la cabane, son nid, et se transforma finalement en Aigle, prenant soin de ne pas regarder en direction du bureau de la Miss Skywolf. Il ne savait quand il reviendrait en ces lieux, mais il savait qu’il partait pour peu de temps. Étant donné que s’était les vacances à l’école, on ne remarquerait pas vraiment son absence.*Et si…*__________________________Suite à venir, à la Boutique d'Animaux Magiques Invité Re Le potagerInvité, le Lun 31 Oct - 1917 Allongé tout habillé sur son lit à baldaquin Selwyn se saisit de sa montre 1 heures et 37 minutes. A cette heure avancé de la nuit le château devait être endormit. Sans attendre mais dans un silence des plus complets le jeune homme se leva puis sortit de son dortoir, et de la salle commune de Serpentard. Pour l'instant il avait fait le plus simple, désormais il devait se balader et sortir du château sans se faire repérer, il y avait le concierge, les fantômes et puis les professeurs, si jamais il se faisait prendre s'en était finit de vent glacial balayait le parc de l'école, mais malgré cela Selwyn avait le sourire, il avait réussit à sortir du chateau, il ne devait qu'a la chance le fait de ne pas avoir croisé de professeurs. Si jamais il avait pensé à emmener sa cape d'invisibilité à Poudlard il n'aurait pas eu à se soucier de ça, malheureusement ladite cape était resté au manoir d' hésitation le jeune homme se dirigea vers la cabane du garde chasse de l'école, à cette heure il devait sans aucun doute serpentard se remémora ce qui l'avait conduit à cette escapade nocturne Au cours d'une leçon de potions, lui et un autre vert et argent avaient fouillé un vieux livre appartenant à Ismael. Apparemment une potion permettait de faire tomber, d'un seul coup les oreilles de la personne assez bête pour boire le breuvage. Et bien sur, ils avaient voulu reproduire cette potion, elle était d’ailleurs presque terminé, il ne manquait qu'un seul élément essentiel Du sang de coq. C'est donc pour cela que Selwyn s'approchait de la douzaine de coq qui avait élu domicile près de la cabane, la baguette dans la main droite et un poignard en argent dans la main qu'il se trouvait à moins de deux mètres des volailles Selwyn lança un "Petrificus Totalus" en informulé. Étant donné que les poulets dormaient le résultat ne fut guère impressionnant, pourtant Selwyn était sur de lui. Sans perde une seconde il se saisit d'un poulet puis lui trancha le cou, aussitôt le sans coula à flot. Selwyn fit apparaitre très rapidemen tune coupe en or ayant subit un sortilège d’extensibilité. Il trancha un deuxième cou, puis un troisième, un quatrième, un cinquième et un sixième. Sans s'attarder le jeune homme regagna son lit, Halloween promettait d'être sensationnel. Philéas ByrneSerdaigle Re Le potagerPhiléas Byrne, le Lun 5 Déc - 1528 Sa longue cape battant l'air comme un étendard indiguo, Philéas remonta le chemin vers le parc à grandes enjambées. Attendu comme le reste de ses collègues, il n'avait eu aucun mal à pénétrer l’enceinte du château. Nimbé par les froids rayons du soleil automnal, il ne cessait de ressasser les mêmes avait passé la nuit dans la salle des potions du QG de Wood Stuff, étudiant et analysant les indices avec attention et minutie. Mais, chassant toute sensation de fatigue, c'était l'image formée par la fumée qui s'échappait de la préparation à base d'eau de roche qui s'était imprimée dans son son regard incrédule, ondulait une représentation de la créature qui avait laissé un peu de salive sur les lieux du double meurtre. Le doute n'était plus permis, il s'agissait d'un basilic !Pourtant, ce n'était pas la peur d'affronter une telle créature qui habitait le coeur du sorcier aux yeux noirs. En fait, il trépignait d'impatience. Ce n'était pas tous les jours qu'un passionné de créatures magiques comme lui, avait l'occasion de rencontrer le roi des serpents ! Il avait tant de fois rêver devant les lithographies de ces monstres mythiques, que cela lui semblait presque Phil' s'efforçait de ne pas perdre de vue la gravité de la situation. Presque tous les occupants du château, de passage ou résidents, étaient susceptibles de succomber sous le pouvoir mortel du sinistre reptile. Il fallait agir vite et efficacement pour tenter de mettre tout ce beau monde à l' tâche ne s'annonçait pas des plus faciles, ils ignoraient encore où se cachait le basilic et la manière dont il était arrivé là. Nul doute qu'il n'était pas tombé du ciel et qu'une personne portait la responsabilité de ses actions. Le visage de l'animagus se renfrogna un peu. Il était agacé qu'un fanatique en mal de grandeur ne vienne encore à utiliser un si noble animal pour exécuter ses basses besognes... C'était toujours la même histoire, des tarés qui se prenaient pour ce qu'ils n'étaient pas commettaient des horreurs et c'était l’innocente créature qui payait de sa vie l'addition de leurs méfaits. * Si c'est encore une de leurs pathétiques histoires de sang pur, je gerbe direct... * songea-t-il en arrivant en vue de la cabane du garde chasse. Le sorcier au teint hâlé devait prévenir tout le monde de l'identité du coupable, chacun pourrait ainsi agir plus efficacement. Il avait laissé l'honneur à son amie et supérieure de prévenir les huiles de l'académie et du ministère. Ces personnes lui hérissant le poil, il avait préféré prévenir les sorciers qui se trouvaient sur le terrain. Parmis eux, ses collègues du ministère dont il n'en connaissait personnellement pas la moitié, sa vieille amie Emilie, son ancien condisciple avec lequel il avait récemment reprit contact et l'une des sorcières dont il était le plus était au milieu des courges, quand il s'arrêta et empoigna sa baguette. Levant celle-ci au ciel, il informula un sort qui la fit irradier d'une lumière nombreuses sphères lumineuses s'envolèrent alors pour se diriger vers la célèbre école. Tandis que certaines continuaient dans les airs, d'autres se posèrent au sol. Les patronus se changèrent alors en singes et poursuivirent leur route en courant sur la pelouse, ils recherchaient le destinataire du message dont ils allaient se faire l'écho. Une fois tous les aurors, la concierge, le garde-chasse et le professeur de potion localisés, les langurs se mirent à parler d'une voix froide et tranchante avec un léger accent Les indices ont parlé, le tueur d'Halloween est un basilic ! Agissez en conséquence !Ce message, bien que succin, avait au moins le mérite de dire l'essentiel. Chacun était assez grand pour savoir ce qu'il avait à faire, ce n'était pas à lui de donner des ordres. D'ailleurs, en parlant d'ordre, Céleste lui avait attribué un partenaire pour sa patrouille dans le parc. Mais, obnubilé par ses expertises, il ne l'avait écouter que d'une oreille et ne se souvenait plus de l'identité de son acolyte. Préférant fuir à l'étranger que d'avouer à sa supérieur qu'il ne l'avait pas écouté, il décida de commencer seul. Avec un peu de chance, il ferait équipe avec un sorcier plus attentif que lui qui saurait le retrouver. En attendant, il s'occuperait comme il pouvait. Sara ShakeSerdaigle Re Le potagerSara Shake, le Mar 6 Déc - 2141 La jeune femme n'avait pas beaucoup dormi durant la nuit précédente. Les évènements passés l'avaient beaucoup éprouvée et ce fut avec les traits tirés que la maman accueillit ses enfants au petit matin. Aaron et Léa furent particulièrement calmes et ne posèrent aucun aucune question, ce qui était bien étrange venant de leur part. D'habitude, les jumeaux n'étaient pas avares d'informations. Mais ce jour-là, ils semblèrent sentir que Sara ne serait pas très bavarde. Elle leur fit cependant tous les câlins et tous les bisous auxquels ils avaient droit, un sourire sincère sur les lèvres. N'ayant avalé qu'un jus d'orange et quelques céréales, la jeune maman partit le ventre léger. Toujours silencieux, les jumeaux lui dirent au revoir et retournèrent à leur petit déjeuner, en attendant que leur père aille les conduire à l'école. Sara se rendait justement dans une école, mais pas une école comme les autres. L'académie de sorcellerie d'Angleterre, Poudlard. Bien qu'elle s'y fut rendue quelques heures plus tôt, elle devait y retourner afin d'y effectuer une espèce de patrouille en compagnie d'un Auror. Avant de retourner chez elle, la Magenmage s'était entretenue avec la Chef des protecteurs du Bien, Céleste. Elle avait désiré à lui parler d'une chose importante, et malgré plusieurs soupçons et des regards interrogateurs, l'Auror avait accepté que Sara se mette à son service avant d'envisager quoi que ce soit d'officiel. D'abord, elle devait en parler avec ses acolytes. Ensuite, seul l'avenir pouvait le prédire. En tout cas, la Mangemorte qui n'en serait plus une dans quelques temps, était bien heureuse que la jeune femme lui fasse confiance. La métamorphomage n'était pas une menteuse et ses envies de repentance étaient tout à fait ne fit pas attention et manqua de se prendre la tête la première dans le portail de l'école. Perdue dans ses pensées positives malgré l'urgence de la situation, la belle blonde fixait les barreaux qui se trouvaient à quelques centimètres de son visage. Se traitant de tête de lune, elle attendit que quelqu'un vienne lui ouvrir. Céleste avait prévenu que ses Aurors viendraient pour patrouiller et que la jeune femme en accompagnerait un dans son tour de vigile. Au bout d'un moment, Sara entra dans l'enceinte de Poudlard et son regard fut attiré par des boules lumineuses au loin. Elles ressemblaient à des Patronus lancés tels des fusées de feux d'artifice. Non intriguée, la jeune femme continua sa route. Elle devait retrouver l'Auror aux alentours de la Cabane du Garde-Chasse. Cet Auror n'était autre que celui qui accompagnait Céleste hier soir, et qui avait fait des prélèvements dans la marre de sang. Il était rentré au Ministère, ou au Quartier Général des Aurors, afin de faire des analyses. Sara était curieuse de savoir s'il avait trouvé quelque chose à propos du Basilic qui rampait dans les tuyaux de l'école. En tout cas, elle ne devait pas se trahir. Elle se demandait si la Chef des Aurors avaient parlé à ses acolytes de sa situation délicate, malgré sa promesse de ne rien dire tant que rien ne serait officiel. Haussant les épaules mentalement, la métamorphomage se retrouva bien vite près du jardin potager du Garde-Chasse. Il n'y avait aucune trace de l'Auror censé être son compagnon de patrouille. Ou bien il n'était pas encore là, ou bien il avait déjà commencé sans elle. Faisait la moue, elle fit plusieurs pas et scruta l'horizon pour tenter d'apercevoir une silhouette. Avec le soleil d'automne dans les yeux, Sara dut mettre sa main en visière pour espérer voir quelque chose. Il lui semblait distinguer une forme au loin. Comme cela valait mieux qu'autre chose, elle se dirigea vers sa destination. Quelques minutes plus tard, elle discerna mieux les traits de la personne qui marchait. C'était bien l'Auror qui avait accompagné sa Chef la veille. Quel était son nom, déjà ? Ah, Philéas ! Donc, celui-ci ne l'avait pas attendue. Si la jeune femme s'était laissée aller à ses anciennes pulsions, il serait déjà cloué à l'un des arbres de la Forêt Interdite par les mains, ses pieds à plusieurs centimètres du sol, une lame affûtée jouant avec sa peau. Mais ça, c'était il y a fort longtemps. Esquissant un sourire malgré tout, songeant à cette époque révolue, elle s'avança plus vite vers lui et le salua, légèrement embarrassée par ses pensées précédentes. Bonjour... Tu es Philéas, c'est bien ça ? Sara Shake... Céleste m'a dit que je devais patrouiller avec toi... »Une demi-seconde plus tard, elle se demanda si le tutoiement était le bienvenu, étant donné qu'ils ne se connaissaient pas. Mais lui étant plus jeune, la jeune femme se dit que cela n'était pas bien grave... sauf si ce jeune homme était porté sur l'étiquette ! Kyara BlanchetLégendeSerpentard Re Le potagerKyara Blanchet, le Sam 12 Jan - 1505 Pv Andrew CollinsDu calme, c'était tout ce que désirait Kyara. Il fallait absolument qu'elle s'isole avant de commettre un meurtre qu'elle pourrait regretter après coup. Les cheveux pleins d'une substance visqueuse verte dans les cheveux, elle traversait les couloirs rapidement d'un pas destructeur. Des deuxièmes années de Serpentard avaient eu "l'excellente idée" de faire une blague à la première personne rentrant dans la salle commune. Le repas du midi avait à peine commencer que Zoey sa cousine était venue lui rendre le livre qu'elle lui avait prêté. C'était le livre préféré de Kyara, son père lui avait offert quand elle était petite. C'était un livre de contes, mais pas pour enfant, pour adulte. Les monstres et la magie noire étaient donc de la partie, pourtant la brune n'avait jamais eu peur en lisant ce livre, cela l'avait même fait rire à certains donc à ce livre comme à la prunelle de ses yeux, la serpentard avait décidé de le rapporter directement dans son dortoir afin de ne pas le tacher lors du repas. Laissant ses camarades, elle fila donc toute contente quand le drame arriva, alors qu'elle passait l'entrée de la salle commune, un ballon remplit de la fameuse substance lui tomba dessus l'éclaboussant de la tête aux pieds. En temps normal Kyara aurait rigolé à la blague. Quand elle était jeune c'était une vraie délinquante donc il lui en fallait beaucoup pour l'atteindre. Elle était même en train de commencer à sourire quand Kyara se rendit compte avec horreur que son livre avait été taché. Avec horreur elle s'était décomposé quand des rires étouffées brisèrent le silence qui régnait dans la pièce. Relevant la tête, une lueur dangereuse dans les yeux, la brune repéra en quelques secondes deux têtes brunes qui se cachaient derrière les la tête de Kyara ils comprirent bien vite qu'ils allaient le regretter et ils voulurent mettre les voiles dans leurs dortoirs, malheureusement pour eux, la brune fut plus rapide. En quelques enjambées, elle le rejoignit et attrapa le premier par le col avant de le plaquer contre le mur. Sortant sa baguette, elle lui enfonçant dans le cou alors que le malheureux s'était instantanément liquéfié et à présent trembler comme une feuille. Ils restèrent ainsi pendant une bonne minute avant que Kyara n'inspire profondément. Elle avait promis à ses cousines d'être sage, de ne plus s'attirer des ennuis, aussi avec un effort considérable, elle relâcha l'élève qui tomba à genoux sur le sol. Se tournant vers l'autre serpentard qui était figé sur place, la brune lui fit signe de mettre les voiles. Sursautant, il fila alors en quatrième vitesse suivi de près par son ami qui avait retrouvé aussi ses pinçant l'arête du nez, elle avait alors mis les voiles pour se calmer. C'était ainsi qu'elle se retrouvait dans les couloirs, toute sale et en colère. Sortant du château, elle savait où aller pour être au calme. Le potager. Enfin potager était un bien grand mot vu qu'il était à l'abandon depuis la saint glinglin. Peu de personnes allaient la-bas à cause de la végétation, c'était donc l'endroit parfait. Tournant dans un petit sentier, elle arriva afin à son lieu de paradis, enfin façon de parler. Allant vers la cabane, la brune l'escalada afin de se trouver sur le toit. Là, elle regarda le livre qui était dans un piteux état. Le posant à coter d'elle, Kyara se rendit alors compte qu'elle avait "semer", on pouvait la suivre à la trace vu que le machin visqueux avait coulé tout le long de son chemin. Super. Poussant un grand soupir, elle s'allongea sur le dos et ignorant le froid entama des exercices de respirations pour se calmer. Il aurait fallu qu'elle se débarrasse de cette substance, mais elle n'avait pas la foie, avec un peu de chance ça lui ferait un soin du corps tient ! Invité Re Le potagerInvité, le Dim 13 Jan - 1138 N'ayant pas faim, Andrew se balladait dans les couloirs du château qui étaient entièrement vide. Tous les élèves se trouvaient à la Grande Salle, le déjeuné avait commencé il y a quelques minutes. Cependant, le Poufsouffle s'ennuyait depuis quelques temps, il décrochait en cours, passer des heures dans la Salle Commune à ne rien faire comme autrefois ne l'amusait plus et cela faisait un bail qu'il n'avait pas vu sa petite amie. De plus, avant les vacances de noêl, le jeune sorcier avait fait plusieurs rencontres qui s'annonçaient plutôt bien. En effet, celle-ci lui permettait d'élargir son cercle d'amis étant donné qu'il n'en avait pas beaucoup. Mais il faut avouer qu'il aurat aimé revoir une jeune femme qu'il avait rencontré dans la forêt interdite, son nom était Kyara lui sembalit-il. Il voulait la revoir déjà parce qu'ils étaient parti sur de mauvaise base, il lui avait menti sur nom, ils s'étaient plus ou moins bagarrer à leur recontre enfin bon ce n'était pas une rencontre ordinaire. Mais elle avait l'air vraiment sympa et c'était le genre d'amis qu'Andrew aimait avoir et il tenait réellement à s'excuser suite à la dernière fois. A chaque fois qu'il allait en cours, il essayait de la chercher du regard dans les couloirs maisi l y avait tellement de monde qu'il était impossible de chercher quelqu'un jeune homme marchait, tout en étant dans ses pensées, lorsqu'il entendit des bruits de pas furieux derrière lui. C'était sans doute le concierge qui accusait pour la énième fois Andrew d'un acte qu'il n'aurait pas commis. Le brun continua à marcher, ignorant les bruits de pas lorsque ceux-ci se rapprochèrent de plus en plus et finirent même par le dépasser. Ce n'était pas le concierge mais une élève qui était furieuse apparemment et il ne fut pas difficile à comprendre pourquoi elle était recouverte d'une substance visqueuse verte. Bien sur, la sorcière ne voudrait surement pas qu'on vienne lui parler ou même qu'on lui vienne en aide mais Andrew se sentait obligé de le faire. D'ailleurs, cette histoire de substance visqueuse était une mode en ce moment chez les élèves de Poudlard, toutes maisons confondues. En effet, un cas semblable était arrivé avant hier chez les Poufsouffle. Suivant alors la jeune femme, il remarqua que la silhouette de la sorcière lui était famlière mais ceci était normal, il croisait des tonnes et des tonnes de sorciers et sorcières par jour. La victime de plaisantins n'avait certainement pas fait attention à Andrew mais celui-ci était determiné pour lui venir en ide sachant qu'a la première munutes où elle le verrait, elle l'enverrait chier mais il avait l'habitude, c'était presque ce qui lui était arrivé quand il avait rencontré brune sortit du château et sembalit se diriger vers le potager. C'était l'endroit parfait pour qu'Andrew puisse discuté tranquillement, afin qu'ils puissent retrouver les deux coupables, si elle le voulait bien. Ilsa marche, et partit à son tour au potager, tournant dans le petit sentier. Mais en Arrivant sur place il n'y avait plus personnes. Cependant, il vit une cabane un peu plus loin et des traves de substance était tombée au sol ce qui pouvait conduire directement Andrew à la jeune femme. Cela lui rapellait un compte moldu "Le Petit Poucet". La cabane n'était pas très haute et le pouffy devina que la brune s'était posée la haut, il grimpa alors ...-"Kyara ??!!!" S'exclama Andrew, très étonné. Comment une élève brillante, ne se laissant as faire, avait pu se faire bernner par des plaisantins ? Sachant qu'elle était vraiment furieuse, et il savait que lorsqu'elle était en colère, il fallait se mettre à l'abris mais le Pouffy n'avait pas peur de Kyara et il voulait se conduire en ami. "C'est moi, Andrew, tu te souviens ?" Demanda t-il même si ce n'était pas vraiment le se rapprocha de Kyara et s'assis à côté d'elle. Voulant la rassuré il fit un geste affectueux en esperant qu'elle le prendrait bien il lui prit la main, la serra fort. "Je suis désolé de ce qui t'es arrivée, tu veux en parler ?" Dit-il d'une voix douce et calme. Kyara BlanchetLégendeSerpentard Re Le potagerKyara Blanchet, le Lun 14 Jan - 1849 Des crétins. La génération future était composé de crétin. Sérieux ils n'auraient pas pu attendre un jour ? Comme ça son livre n'aurait pas été tacher. C'était réparable bien sur, mais quand même elle l'avait en travers. Poussant un nouveau soupir, elle garda les yeux fermer se demandant si elle allait s'endormir. Elle n'avait pas spécialement sommeil et il faisait pas super chaud, mais elle avait la faculté de pouvoir s'endormir où elle le voulait sans soucis. Enfin pour pouvoir dormir il lui faudrait quand même un sac de couchage, où une grosse couette. Quitte à choisir elle préférait ne pas finir comme un glaçon ... Au moins elle était au calme avec elle-même. Ses nerfs n'allaient pas tarder à se calmer et lorsque ça sera chose faite, elle pourra retourner au château et reprendre le cours de sa vie comme si de rien n' Kyara ??!!!Et slurk ... la tranquillité aura été de courte durée ... Ouvrant les yeux, elle se redressa et découvrit Andrew qui se tenait devant elle. C'était la deuxième fois qu'ils se voyaient, la première rencontre ne c'était pas super bien passer, surtout au début. Youpi ... quitte à choisir, Kyara aurait préféré voir Axelle où Zoey, logique en soit, la famille passait avant tout et puis ses cousines étaient toujours au top quand la brune n'allait pas C'est moi, Andrew, tu te souviens ?Oh oui qu'elle s'en souvenait, elle n'avait surtout pas oublié le rhume qu'elle avait traîné une bonne semaine après la petite escapade nocturne dans la foret. Gardant le silence, elle le regarda s'approcher et s'asseoir à ses côtés. Il fit alors un geste qui prit au dépourvu la serpentard. Il lui attrapa la main et la serra fort tout en parlant d'une voix Je suis désolé de ce qui t'es arrivée, tu veux en parler ?Haussant un sourcil, Kyara se dégagea doucement, retrouvant ainsi le contrôle de sa main et recula un peu afin d'avoir Andrew dans son champ de vision. Il croyait donc qu'elle n'allait pas bien car elle s'était faite peinturer ? C'était pas la mort, le seul truc qui avait énerver Kyara c'était que le cadeau de son père avait été touché. Elle avait déjà peu de choses lui rappelant des souvenirs, alors voir un cadeau être abîmer ça lui minait le moral. Ramenant une meche de cheveux derrière son oreille, elle répondit alors au Salut Andrew, oui je me souviens de toi t'inquiète et t'as pas à être désolé. C'est juste qu'un peu de truc gluant et vert, après une bonne douche ça ira légèrement, elle rabattue alors ses jambes sur elle et pendant quelques secondes garda le silence avant de reprendre la parole D'ailleurs, qu'est ce que tu fais ici ? T'as pas cours ? Invité Re Le potagerInvité, le Jeu 17 Jan - 1122 Lorsqu 'Andrew lui prit la main, Kyara se dégagea doucement, reprit le contrôle de sa main et recula un peu, sans doute pour bien avoir le Poufsouffle dans son champ de vision. Puis ils ne se connaissaient pas vraiment, ce geste d'affection qu'avait fait le brun était donc Kyara n'avait pas l'air trop triste ni trop en colère pour la farce dont elle avait été victime. Elle avait plus l'air en colère pour autre chose, d'ailleurs le Pouffy pu apercevoir à côté de la jeune Serpentard, un livre qui était dans un piteux état. Andrew se demandait bien ce que pouvait être ce livre mais n'osa pas y toucher car lorsque la brune ce mettait en colère, elle ne faisait pas jeune sorcière, rabattue une mèche derrière ses oreilles et répondit alors au jeune pouffy - Salut Andrew, oui je me souviens de toi t'inquiète et t'as pas à être désolé. C'est juste qu'un peu de truc gluant et vert, après une bonne douche ça ira mieux. Dit-en en souriant légèrement, sourire qu'Andrew lui le Poufsouffle n'y croyait à moitié. Non pas qu'il n'avait pas confiance en Kyara, là n'était pas la question. Même s'il la connaissait depuis peu de temps, il savait que la brune n'était pas du genre à mentir comme lui l'avait fait au moment de leur première rencontre. Ce qui l'intriguait c'est que lorsqu'elle était passée devant lui dans les couloirs, la Serpentard paraissait furieuse et d'après ses dires, ce truc gluant et vert n'était pas très grave. Non, le sorcier était certain qu'elle était triste par rapport à ce livre qui avait été tout abîmé. C'était certainement un cadeau ou quelque chose qui lui tenait vraiment à assit non loin de Kyara, il se rapprocha un peu plus d'elle mais pas trop afin qu'elle ne soit pas gênée, et s'apprêta à parler lorsqu'elle ajouta - D'ailleurs, qu'est ce que tu fais ici ? T'as pas cours ? Lui demanda t-elle, toute jeune Poufsouffle lui lança à nouveau un sourire, plia les jambes et posa les coudes sur ses genoux, prit un grand souffle et dévoila -"A vrai dire, je me baladais dans les couloirs du château car je n'avais pas faim et je m'ennuyais, ça fait quelques temps que je m'ennuie je ne sais pas ce qu'il m'arrive c'est comme si j'étais blasé enfin bon, je te passe les détails." Dit-il avant de reprendre "Et tout à coup, je t'ai vu passer devant moi, furieuse, mais je ne savais pas que c'était toi, je pensais que c'était une autre élève et je t'ai alors suivi car je voulais te venir en aide, comprend moi, je pensais que tu était réellement furieuse contre deux farceurs et quand je suis arrivé ici, j'ai eu la grande stupéfaction de te voir. Ce qui ne m'a pas vraiment déplu car depuis notre aventure dans la forêt, je cherchais absolument à te revoir, j'avais envie de mieux te connaître." Termina il pointa son index sur le livre de Kyara en haussant les sourcils. Toutefois, avant de lui laisser la paroles, il enchaîna -"Mais à mon avis, tu n'était pas furieuse contre ce qu'on t'avait fait mais plutôt contre ce qu'ils lui ont fait" toujours en montrant le livre du doigt"Tu sais, je ne suis pas dupe et je sais qu'il doit énormément compter pour toi, qu'est-ce que sait ?" Demanda t-il d'une voix posée, plongeant dans ses pensées, Andrew pensait connaître la raison de son décrochage sur ce château qu'il aimait temps. En effet, si le Pouffy se sentait mal en ce moment, qu'il était blasé, qu'il s'ennuyait à Poudlard c'est parce qu'il n'arrivait toujurs pas digéré la mort de ses parents. En effet, cette histoire pour lui c'était du passé, cette histoire était enterrée, le Pouffy était passé à autre chose. Il était persuadé qu'ils étaient morts etjusqu'au jour où durant les vacances, Andrew cru apercevoir son père à Pré-Au-Lard et si ce n'était pas lui, alors c'était un homme qui lui ressemblait étrangement. Cela avait donc fait déterrer cette histoire et depuis quelques temps, il avait tout un tas de flash black. Andrew remettait désormais la disparition de ses parents en questions Sont-ils réellement mort ? Malheureusement il ne pourra jamais répondre à cette question même s'il espérait secrètement que la réponse soit non. Kyara BlanchetLégendeSerpentard Re Le potagerKyara Blanchet, le Jeu 17 Jan - 1513 Andrew se rapprocha de Kyara encore un peu malgré le fait qu'elle se soit déplacé. Prenant sur elle, elle n'eut aucune réaction et observa le ciel attendant la réponse du jeune homme. La Française aimait beaucoup tout ce qui touché à l'astronomie, le ciel, les étoiles, les planètes et tout et tout. Malheureusement il n'y avait pas de cours portant sur le sujet dispenser à Poudlard, sinon elle se serait inscrite directement. Détachant à contre coeur son regard, elle se re-concentra sur A vrai dire, je me baladais dans les couloirs du château car je n'avais pas faim et je m'ennuyais, ça fait quelques temps que je m'ennuie je ne sais pas ce qu'il m'arrive c'est comme si j'étais blasé enfin bon, je te passe les détails. Et tout à coup, je t'ai vu passer devant moi, furieuse, mais je ne savais pas que c'était toi, je pensais que c'était une autre élève et je t'ai alors suivi car je voulais te venir en aide, comprend moi, je pensais que tu était réellement furieuse contre deux farceurs et quand je suis arrivé ici, j'ai eu la grande stupéfaction de te voir. Ce qui ne m'a pas vraiment déplu car depuis notre aventure dans la forêt, je cherchais absolument à te revoir, j'avais envie de mieux te beh, ça s'était de l'explication de fou. Apparemment Andrew aimait aider les gens et il avait envie eu de faire sa bonne action de la journée. Kyara aurait été bien seule, mais bon vu qu'il était là autant faire avec. D'ailleurs une question taraudait la brune, pourquoi est-ce qu'Andrew voulait apprendre à mieux la connaitre ? Comme elle s'était fait la remarque un peu plus tôt, leur première rencontre ne s'était pas super bien passée. Elle s'attendait même à ne plus le revoir, comme quoi il ne fallait pas vendre la peau de l'hippogriffe sans l'avoir Mais à mon avis, tu n'était pas furieuse contre ce qu'on t'avait fait mais plutôt contre ce qu'ils lui ont fait. Tu sais, je ne suis pas dupe et je sais qu'il doit énormément compter pour toi, qu'est-ce que c'est ?Tout en parlant il avait pointé du doigt le livre de la jeune femme. Cela lui tira un petit sourire, malgré le fait qu'il soit à Poufsouffle et que cette maison ne soit pas super bien vu chez les serpentard bon comme toutes les autres maisons, Andrew avait oublié d'être bête. Bon en même temps le livre se trouvait juste à coter d'elle, mais tout le monde n'aurait pas fait le rapprochement. Aussi Kyara décida d'être franche avec le jeune Tu as vu juste, je suis en colère car ce livre a été sali. C'est mon père qui me l'a offert quand j'étais enfant et j'y tiens beaucoup ... En temps normal j'aurais bien pris la blague, mais là ça n'est pas passer. Je n'aime pas que les cadeaux qu'on m'offre soit dégradé où autre ... Enfin ce qui est fait est fait, je le nettoierais et il sera de nouveau comme un sous neuf ! Tu es né dans les environs toi ?Dernière édition par Kyara Blanchet le Sam 19 Jan - 1610, édité 1 fois Invité Re Le potagerInvité, le Sam 19 Jan - 1425 Kyara décida d'être franche avec le jeune homme et lui avoua donc qu'elle était en colère parce que ce livre avait été sali, c'était son frère qui le lui avait offert lorsqu'elle était enfant. Elle y tenait énormément. Elle dit également qu'en général, elle aurait bien prit la blague mais là c'était la goutte d'eau qui faisait déborder le vase. Tout comme Andrew, elle n'aime pas lorsque les cadeaux qu'on lui offre soit abîmé. Mais comme elle avait dit, ce qui était fait était fait. Puis sans s'y attendre, Kyara passa du coq à l'âne, c'est-à-dire qu'elle changea totalement de conversation en lui demandant s'il était né dans les qui depuis le début regardais Kyara dans les yeux lorsqu'elle parlait, redressa sa tête et regarda l'horizon. Cette simple question avait évoqué en lui toutes sortes de souvenirs rare qu'ils partageaient avec sa famille. Notamment le jour où lui et ses parents apprirent que ses deux frères jumeaux, Mark et John, étaient des cracmols où encore la fois ou ils avaient tous campés dans un forêt française, le Pouffy était jeune, très jeune à cette époque. Mais le souvenir le plus marquant était celui où il fut contraint de fuir de chez lui car un groupe de cinq sorciers pénétrèrent dans leurs maisons. Lui et ses deux frères quittèrent le coquons familiales à la demande des parents. Mais entre-temps, Mark et John disparurent également et le jeune sorcier du alors apprendre à vivre seul. Mais six mois après leurs disparitions il put se faire héberger et le jour de ses 11 ans, il pu enfin rentrer à Poudlard. C'était une triste période de sa faisait maintenant un long moment qu'il n'avait pas prit le temps de penser à eux même si durant les vacances il vit un homme ressemblant à son père. La question de la jeune Serpentard avait donc chamboulé le jeune homme, cela l'avait émue, cela l'avait rendu plus ou moins triste mais Kyara n'en était pas responsable, elle ne pouvait pas le savoir. le brun avait les larmes aux yeux en repensant à sa famille. Une de ces jours, il fallait qu'il retourne dans le village où il vivait étant enfant, mais le garçon ne connaissait pas le village en question, ça remontait à trop suis né en Angleterre dans un village ... dont je ne connais pas le nom. J'ai ... j'ai perdu ma famille et j'ai du m'enfuir à l'âge de 9 ans ... Je ... Ils me manquent tellement !" Dit-il, laissant d'autres larmes couler sur ses avait honte de faire la mauviette devant elle, qu'est-ce qu'elle allait en penser ? Que c'était une chochotte, qu'il ne savait pas se tenir. Et puis son histoire n'intéresserait peut-être pas Kyara alors pourquoi ne pas avoir tout simplement dis "Je suis né en Angleterre", non il fallait qu'il en Poufsouffle se ressaisit , essuya de nouveau ses larmes et évita de penser à ce tragique moment de sa moi, je ... je suis désolé" Dit-il en souriant légèrement. "& toi, tu es née où ?" Demanda t-il ensuite à la jolie brune. Kyara BlanchetLégendeSerpentard Re Le potagerKyara Blanchet, le Mar 22 Jan - 1904 Kyara aimait bien passer du coq à l'âne quand elle parlait. En fait elle exprimait souvent la suite de ce qu'elle pensait d'un coup, où bien sans prévenir elle revenait sur un sujet évoqué quelques heures plus tôt comme s'il n'y avait jamais eu de coupure. Les gens avaient parfois du mal à la suivre et elle ne comprenait pas toujours pourquoi. Pour Kyara c'était tout à fait normal de faire ainsi, bien qu'elle tente de faire en sorte que cela arrive le moins souvent Je suis né en Angleterre dans un village ... dont je ne connais pas le nom. J'ai ... j'ai perdu ma famille et j'ai du m'enfuir à l'âge de 9 ans ... Je ... Ils me manquent tellement ! Dit-il tout en oh oh temps mort !! Il faisait quoi là ?! Surprise, Kyara se recula un peu. Elle n'était pas habituée à voir un garçon pleurer. Normalement c'était les filles qui pleuraient pas l'inverse ! Dans le cas de la brune, elle pleurait que quand c'était vraiment poignant pour elle. Il lui arrivait souvent d'être triste, mais il lui en fallait pas mal pour pleurer. Par exemple voir la personne qui la formée et avec qui elle a passé de bons moments mourir devant elle sans rien pouvoir faire ... Là Kyara avait pleuré. N'étant pas très douée pour réconforter les gens, elle attendit en silence que le jeune homme se calme. Cela faisait du bien de pleurer et certains n'avaient surtout pas besoin qu'on les Excuse moi, je ... je suis désolé Et toi, tu es née où ?En entendant ses paroles, la brune leva les yeux au ciel. Il n'avait pas à s'excuser, même si elle avait été surprise, on pouvait tous craquer à un moment où à l'autre. Pas besoin de s'excuser donc aux yeux de Kyara. Se grattant la tête, elle haussa alors les épaules avant de Tu n'as pas à t'excuser, tu peux pleurer si tu en as envie, je ne vais pas te juger pour ça. Sinon pour ma part je suis née en France. J'ai eu la chance d'apprendre tôt l'anglais ce qui fait que quand je suis venue ici j'ai su me dépatouiller. Sinon ça va les cours ? T'es en quelle année déjà ? Invité Re Le potagerInvité, le Dim 3 Fév - 1655 Kyara leva les yeux au ciel, peut-être que le Poufsouffle l'éxaspérait. Le jeune sorcier se sentit alors gêné, il était vraiment maladroit, il fallait tous jours qu'il fasse un truc au moment où il ne fallait pas et le pire c'est qu'il ne le faisait pas exprès. Andrew avait beaucoup de qualité mais en ce qui concernait la maladresse, il était le Pouffy s'essuya les yeux, encore humide, attendant ce que la belle brune allait bien pouvoir dire. Celle-ci haussa les épaules puis lui dit qu'il n'avait aucunement besoin de s'excuser et qu'elle n'allait pas le juger parce qu'il pleurait, après tout c'était humain, tout le monde pouvait craquer à un moment donné et en l’occurrence, il s'agissait de la disparition de sa famille, ce n'était pas ajouta ensuite qu'elle était né en France et ayant eu la chance d'apprendre l'anglais relativement tôt, en arrivant ici elle à su se débrouiller. Puis passant de nouveau du coq à l'âne, elle changea de sujet et lui demanda si les cours sa allait et demanda également en quelle année était t-il car la Serpentard ne s'en souvenait devait maintenant faire une bonne heure que les deux élèves étaient là mais Andrew ne s'ennuyait pas, cela lui fit plaisir d'apprendre à connaître Kyara suita à leur première rencontre qui s'était mal déroulée. Il pourrait rester encore ici longtemps, cependant le temps commençait à se rafraîchir et le ciel devenait gris, néanmoins Andrew resterait tout de même s'était habitué à voir Kya pleine de substance ... bizarre et collante mais de temps en temps il voulut pouffer de rire, il essayait de se retenir quand même, elle devait en avoir assez comme sa passa la main dans ses cheveux et répondit -"Tu es née en France ?! Tu a beaucoup de chance, j'y suis allé une fois et j'ai beaucoup aimé ..." Dit-il avec sourire. "J'aime beaucoup la France" Ajouta t-il en français, avec un accent anglais. "Moi je sais parler un peu français, mais ça s'arrête là."Le Pouffy se râcla la gorge puis reprit " Je suis en sixième année, tout comme toi non ?Les cours ça peut aller, je suis juste un peu perdu en potion, par contre en DFCFM je gère la fougère ! Et toi, ça va ?"Andrew regarda ensuite le ciel qui s'assombrissait au fur et à mesure qu'ils parlaient, mais ceci était due à cause de la tempête qui arrivait car la montre d'Andrew n'indiquait que d'ailleurs en observant sa montre et précisément la date qu'elle affiche juste au dessus du cadran qu'Andrew remarqua que ce jour était important à ses yeux, très important puisque c'était le jour de son anniversaire ! Comment avait t-il pu oublier ?! Aujourd'hui Andrew était majeur. Vu que le Pouffy était né en début d'année, normal qu'il est 17 ans tout en étant en sixième Pouffy n'en revenait pas ! Et cette année encore, sa famille n'était pas là pour fêter ça, il se retrouvait de nouveau seul et ça depuis maintenant depuis 7 ans reviens pas, c'est mon anniversaire !" S'exclama t-il à haute voix. Kyara BlanchetLégendeSerpentard Re Le potagerKyara Blanchet, le Mar 5 Fév - 2055 Kyara avait de la chance, la substance dont elle était imprégnée ne dégageait aucune odeur, sinon elle aurait surement empestée comme pas possible. Comme quoi cette journée n'était pas complètement nulle. Youhouu. Fixant son bras, elle constata que ça commençait à sécher. Super au moins elle n'aurait pas à frotter comme une malade, avec un peu de chance ça s'effriterait tout seul et douche normal suffirait. La brune l'espérait fortement. De toutes les manières, elle verrait bien plus Tu es née en France ?! Tu a beaucoup de chance, j'y suis allé une fois et j'ai beaucoup aimé ... J'aime beaucoup la France. Moi je sais parler un peu français, mais ça s'arrête brune lâcha un sourire quand Andrew accentua son accent sur les derniers mots. En tous les cas, elle était bien contente d'avoir appris tôt l'anglais. On entendant encore son accent Français, mais le fait de vivre entourée de personnes ne parlant pas la même langue l'avait fait sacrement progresser. Ses cours d'Anglais lui avaient juste donner quelques tuyaux, elle avait du après se faire sur le tas, d'où le fait que sa première année elle avait plus écouté que parler. Au final ce trait caractériel lui était Je suis en sixième année, tout comme toi non ? Les cours ça peut aller, je suis juste un peu perdu en potion, par contre en DFCFM je gère la fougère ! Et toi, ça va ?Kyara aimait bien de la potion, c'était une de ses matières préférées avec les défenses contre les forces du mal. Les deux matières où elle se débrouillait le mieux en gros. En plus au niveau des professeurs elle ne pouvait pas rêver mieux donc c'était tout benef pour elle ! Par contre Andrew la rajeunissait, la Serpentard n'était pas en sixième, mais en septième année. C'était sa dernière année à Poudlard. Ca sonnait bizarre quand Kyara se le disait. Elle ne se voyait pas partir de l'école se retrouvant toute seule et perdant ses cousines. Non pas que la solitude la dérangeait, mais en sept ans elle avait eu le temps de prendre ses marques, d'avoir ses petites habitudes dans le château. A la fin de l'année elle devrait pourtant partir et elle n'en avait pas du tout l'envie ... Peut-être qu'elle ferait exprès de rater ses examens juste pour repiquer une année tient ! C'était à voir ...- J'en reviens pas, c'est mon anniversaire !Son anniversaire ? C'était son anniversaire et il ne s'en rendait compte que maintenant ?! Cela ne devait pas être un évènement très important pour lui alors ... Pendant quelques secondes Kyara hésita sur la suite des choses. Devait-elle lui souhaiter son anniversaire où pas ? Du fait qu'elle était polie elle décida que lui, comme ça au moins une personne lui aura souhaiter son anniversaire en cette journée !- C'est bien de t'en apercevoir maintenant et bien joyeux anniversaire à toi ! Ca te fait quel âge alors ? Tu t'es trompé je suis en dernière année pour ma part et les cours ça va. Je n'ai pas le temps de suivre tous ceux proposer dans le château, mais j'en ai quand même pas mal sur mon emploi du temps. Tu verras l'an prochain ça se corsera encore un peu plus ! En parlant de ça je pense que je ne vais pas traîner encore bien longtemps ... Faudrait que je me douche et que je me mette au boulot ... Invité Re Le potagerInvité, le Mar 12 Fév - 1200 - C'est bien de t'en apercevoir maintenant et bien joyeux anniversaire à toi ! Ca te fait quel âge alors ? Tu t'es trompé je suis en dernière année pour ma part et les cours ça va. Je n'ai pas le temps de suivre tous ceux proposer dans le château, mais j'en ai quand même pas mal sur mon emploi du temps. Tu verras l'an prochain ça se corsera encore un peu plus ! En parlant de ça je pense que je ne vais pas traîner encore bien longtemps ... Faudrait que je me douche et que je me mette au boulot ...S'exclama alors la jeune Serpentard. En effet, son anniversaire n'était pas vraiment important à ses yeux, car c'est le jour de ses 9 ans que ses parents ont disparus et cela créait parfois quelques malaises en y repensant. Et puis, durant toutes ces années Andrew à toujours préféré être un solitaire et n'a donc jamais eu vraiment d'amis jusqu'a son début de sixième année qui touchait à sa fin. Mais jamais personnes ne le lui avait souhaité. Et oui, le Poufsouffle allait entrer en septième année ! Cela lui faisait bizarre d'y penser car même s'il n'avait pas eu autant d'amis que maintenant, il parlait tout de même à des élèves même s'il n'était pas très proches des autres, néanmoins il avait vécu une longue période de sa vie ici et tout quitter comme ça, cela était étrange. Tout comme Kyara, le jeune sorcier ne pouvait pas suivre tous les cours du château, il y en avait beaucoup trop mais il en suivait un certain nombre. Et d'après les dires de la jeune femme, lorsqu'il entrera en dernière année ça se corsera encore un peu plus ! Cela ne lui fit même pas peur d'ailleurs puisque sa devise était d'aller tout jours plus loin, d'aller au délà de ces capacités, de ces forces et les nouvelles choses, les nouvelles sensations et les nouvelles aventures le motivait au aussi n'allait pas tarder à partir même s'il y a quelques secondes il pensait le contraire. Le Poufsouffle frotta son jean, se leva et tendit sa main à Kyara afin de l'aider à se te remercie pour mon anniversaire, très peu de gens me l'ont souhaités depuis mon arrivée à Poudlard. D'ailleurs si j'ai .. j'ai oublié que c'était mon anniversaire c'est parce que ce jour-là mes parents ont disparus, le jour de mes 9 ans et j'évite d'y penser et j'oublie donc. Mais aujourd'hui je suis majeur et c'est un jour important, je devrais aller fêter ça mais ... je ne sais pas avec qui." Dit-il avec une amertume de tristesse. "Les cours et tout ça en septième année ça se corsera tu m'a dis mais je n'en ai pas peur, ça sera comme une nouvelle aventure pour moi et j'essayerais de me prouver que je peux aller encore plus loin !" Ajouta le jeune ado avec grand sourire. "Moi aussi je vais rentrer, faisons le chemin ensemble !" Finit-il par deux élèves continuèrent donc à bavarder jusqu'à arriver au château et ils se dirent au revoir et prirent chacun une direction différentes.[FIN DU RP] Re Le potagerContenu sponsorisé, le Permission de ce forumVous pouvez Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
\n le parti pris des choses l huitre
Lhuitre paraît dans Le Parti pris des choses, c'est un recueil de poèmes en prose qui paraît en 1942. Titre contradictoire car les choses, objets sans conscience, ne peuvent prendre partie. Dans ce recueil, le poète décrit des objets banals, quotidiens. Il refuse le lyrisme, et l'utilisation d'un langage artificiel. La poésie doit venir
LE PARTI PRIS DES CHOSES, Francis PongeFiche de lectureCarte mentaleÉlargissez votre recherche dans UniversalisLes objeux »Qu'y a-t-il de moins commode à ouvrir au jour de la parole qu'une huître ? C'est un monde opiniâtrement clos » L'Huître ». Or il s'agit de rendre ou refaire » ce monde – à tous les sens du mots refaire » –, c'est-à-dire produire une réalité de paroles qui tiendra » face à l'objet considéré. Mais il faut aussi se plier, grâce à une ascèse des moyens, au réel dont il aura été pris le parti. Il faut enfin accepter dans la distance, non exempte d'ironie ou d'humour, l'échec des tentatives. Ainsi Le galet » se conclut-il par cette phrase supposée provenir de critiques Ayant entrepris d'écrire une description de la pierre, il s'empêtra ». Trouver la formule » correspondant au mieux à la chose exige un lent travail sur la matière même du langage, épaisseur des choses » et épaisseur sémantique des mots » devant aller à la rencontre l'une de l'autre. PARTI PRIS DES CHOSES égale COMPTE TENU DES MOTS » La Rage de l'expression, 1952. Le dire poétique est une récréation » productrice d' objeux » dont Ponge n'aura de cesse de fournir, jusqu'à la fin, de nombreux exemples Le Savon, 1967 ; La Table, 1982.Avec Le Parti pris des choses, Ponge donne le ton d'une œuvre que, solitairement, il a su faire jouer avec d'infinies subtilités dans tous les registres, sous tous les régimes. Aux buissons typographiques constitués par le poème sur une route qui ne mène hors des choses ni à l'esprit, certains fruits sont formés d'une agglomération de sphères qu'une goutte d'encre remplit. » Le Parti pris des choses, Les Mûres ».1 2 3 4 5 …pour nos abonnés, l’article se compose de 2 pagesÉcrit par professeur de philosophieClassificationLittératuresŒuvres littérairesŒuvres littéraires du xxe s. et du xxie s. en OccidentLittératuresŒuvres littérairesŒuvres littéraires par genresŒuvres poétiquesAutres références LE PARTI PRIS DES CHOSES, Francis Ponge » est également traité dans DESCRIPTION, notion deÉcrit par Elsa MARPEAU • 987 mots La description permet de donner à voir en imagination, grâce au langage. Elle constitue une pause, un contretemps dans le flux du récit. Sa finalité représentative semble ainsi l'opposer aux visées narratives de ce dernier. Toutefois, cette distinction théorique est plus complexe dans la pratique, où il s'avère parfois malaisé de distinguer récit et description. C'est pourquoi, selon Gérard Genet […] Lire la suitePONGE FRANCIS 1899-1988Écrit par Michel COLLOT • 2 416 mots Dans le chapitre Un itinéraire exemplaire et original » […] Né à montpellier dans une famille protestante nîmoise, et ayant vécu son enfance à Avignon, Ponge dit avoir gardé de ses premières années une double imprégnation », sensible et intellectuelle, au contact de la nature méditerranéenne et des monuments de la culture latine. Il a découvert très tôt dans la bibliothèque de son père le Littré , qui restera pour lui un instrument de travail privilégié. […] Lire la suiteRecevez les offres exclusives Universalis Pour citer l’articleFrancis WYBRANDS, LE PARTI PRIS DES CHOSES, Francis Ponge - Fiche de lecture », Encyclopædia Universalis [en ligne], consulté le 25 août 2022. URL Leparti pris des choses. Ponge Françis. Poésie, Théâtre, Lettres. Référence : 2 145. Éditeur : Gallimard Collection : "Poésie" Date de parution : 2000. Quatrième de couverture: L'huître L'huître, de la grosseur d'un galet moyen, est d'une apparence plus rugueuse, d'une couleur moins unie, brillamment blanchâtre. C'est un monde opiniâtrement clos. Pourtant on peut l'ouvrir : il
Auteurs français ► XXe siècle ► vous êtes iciAuteurs françaisFrancis Ponge1899 – 1988Sommaire Un poète du dimanche » La reconnaissance Gros plan sur Le Parti pris des choses 1942 Extraits du Parti pris des choses L’huître Le mimosa Le pain Le cageot Bibliographie Citations choisies Un poète du dimanche »Né à Montpellier, le 27 mars 1899, Francis Ponge fait des études de lettres, puis de droit. Il écrit ses premiers textes et travaille quelques mois comme secrétaire de fabrication aux éditions 1931, après son mariage, il entre comme salarié aux Messageries Hachette. Il se consacre à la poésie pendant ses moments libres. Après avoir fréquenté le groupe surréaliste, il adhère au Parti en 1937, après un violent mouvement de grève, il travaille comme employé d’assurance. Entré dans la Résistance en 41, il est un agent de liaison très actif, fréquente les écrivains combattants comme Éluard et Camus. Il publie, en 1942, son premier grand recueil, Le Parti pris des choses composé de trente-deux poèmes écrits entre 1924 et 1939.La reconnaissanceEn 1944, un article élogieux de Sartre vaut à Francis Ponge un début de notoriété. Il continue à publier tout en donnant des conférences pour l’Alliance française ; en 1949 paraissent les Proêmes, en 1952, La Rage de l’expression et en 1961, Le Grand Recueil. Les articles de Philippe Sollersℹ asseoient la réputation du poète. Lui-même publie, en 1965, un essai dans lequel il précise ses positions théoriques et revendique l’héritage des artisans de la langue et du verbe comme Malherbe. En 1984, c’est un poète désormais incontesté et célébré qui reçoit le grand prix de poésie de l’Académie Philippe Sollers De son vrai nom Philippe Joyaux, Philippe Sollers est un écrivain français né à Talence en Gironde le 28 novembre plan sur Le Parti pris des choses 1942Le titre du recueil est en même temps un manifeste. Francis Ponge a défini ainsi le principe de son écriture du Parti pris des choses c’est avant tout donner l’initiative aux choses, les laisser s’ s’agit pour lui de remplacer chaque objet par une formule » de langage qui lui soit exactement adéquate. Pour ce poète artisan, toutes les choses sont également dignes d’être exprimées ». C’est pourquoi le recueil s’attache à décrire des objets simples, quotidiens ordinairement ignorés par la tradition poétique. Le lyrisme n’y a aucune place, mais toute l’attention est portée à l’écriture. Ponge a d’ailleurs avoué sa prédilection pour les poètes classiques, comme Malherbe, épris de la pureté des formes. Dans ses poèmes, aucun mot ne figure au hasard ; il est choisi pour ses affinités graphiques ou sonores avec la chose qu’il doit un article célèbre, Jean-Paul Sartre a salué la naissance d’un poète phénoménologue ». Il célébrait la construction de ces courts poèmes qui mêlent indifféremment les êtres humains et les choses inanimées. Il reconnaissait à Francis Ponge le sens du fantastique moderne ». L’huître » est l’un des poèmes les plus célèbres du de la grosseur d’un galet moyen, est d’une apparence plus rugueuse, d’une couleur moins unie, brillamment blanchâtre. C’est un monde opiniâtrement clos. Pourtant on peut l’ouvrir il faut alors la tenir au creux d’un torchon, se servir d’un couteau ébréché et peu franc, s’y reprendre à plusieurs fois. Les doigts curieux s’y coupent, s’y cassent les ongles c’est un travail grossier. Les coups qu’on lui porte marquent son enveloppe de ronds blancs, d’une sorte de l’intérieur l’on trouve tout un monde, à boire et à manger sous un firmament à proprement parler de nacre, les cieux d’en dessus s’affaissent sur les cieux d’en dessous, pour ne plus former qu’une mare, un sachet visqueux et verdâtre, qui flue et reflue à l’odeur et à la vue, frangé d’une dentelle noirâtre sur les bords. Parfois très rare une formule perle à leur gosier de nacre, d’où l’on trouve aussitôt à s’ Ponge, Le Parti pris des Choses, mimosaSur fond d’azur le voici, comme un personnage de la comédie italienne, avec un rien d’histrionisme saugrenu, poudré comme Pierrot, dans son costume à pois jaunes, le mimosa. Mais ce n’est pas un arbuste lunaire plutôt solaire, multisolaire… Un caractère d’une naïve gloriole, vite découragé. Chaque grain n’est aucunement lisse, mais formé de poils soyeux, un astre si l’on veut, étoilé au maximum. Les feuilles ont l’air de grandes plumes, très légères et cependant très accablées d’elles-mêmes ; plus attendrissantes dès lors que d’autres palmes, par là aussi très distinguées. Et pourtant, il ya quelque chose actuellement vulgaire dans l’idée du mimosa ; c’est une fleur qui vient d’être vulgarisée. … Comme dans tamaris il y a tamis, dans mimosa il y a Ponge, Le Parti pris des Choses, painLa surface du pain est merveilleuse d’abord à cause de cette impression quasi panoramique qu’elle donne comme si l’on avait à sa disposition sous la main les Alpes, le Taurus ou la Cordillère des Andes. Ainsi donc une masse amorphe en train d’éructer fut glissée pour nous dans le four stellaire, où durcissant elle s’est façonnée en vallées, crêtes, ondulations, crevasses… Et tous ces plans dès lors si nettement articulés, ces dalles minces où la lumière avec application couche ses feux, – sans un regard pour la mollesse ignoble sous-jacente. Ce lâche et froid sous-sol que l’on nomme la mie a son tissu pareil à celui des éponges feuilles ou fleurs y sont comme des sœurs siamoises soudées par tous les coudes à la fois. Lorsque le pain rassit ces fleurs fanent et se rétrécissent elles se détachent alors les unes des autres, et la masse en devient friable… Mais brisons-la car le pain doit être dans notre bouche moins objet de respect que de Ponge, Le Parti pris des Choses, cageotÀ mi-chemin de la cage au cachot la langue française a cageot , simple caissette à claire-voie vouée au transport de ces fruits qui de la moindre suffocation font à coup sûr une maladie. Agencé de façon qu’au terme de son usage il puisse être brisé sans effort, il ne sert pas deux fois. Ainsi dure-t-il moins encore que les denrées fondantes ou nuageuses qu’il enferme. À tous les coins de rues qui aboutissent aux Halles, il luit alors de l’éclat sans vanité du bois blanc. Tout neuf encore, et légèrement ahuri d’être dans une pose maladroite à la voirie jeté sans retour, cet objet est en somme des plus sympathiques, — sur le sort duquel il convient toutefois de ne s’appesantir Ponge, Le Parti pris des Choses, Le Parti pris des choses 1942 Proêmes 1948 La Rage de l’expression 1952 Le Grand Recueil I. Méthodes » 1961 ; II. Lyres » 1961 ; III Pièces » 1962 Pour un Malherbe 1965 Le Savon 1967 Entretiens avec Philippe Sollers 1970 La Fabrique du Pré 1971 Comment une figue de parole et pourquoi 1977 Pratiques d’écriture Œuvres complètes, La Pléiade volume I janvier 1999 ; volume II août 2002 ; Gallimard, Paris. Pages d’atelier 1917-1982, 2005 ; Gallimard, Paris Ensemble de textes inédits.Citations choisies C’est par sa mort parfois qu’un homme montre qu’il était digne de vivre. Note sur les otages Il suffit d’abaisser notre prétention à dominer la nature et d’élever notre prétention à en faire physiquement partie, pour que la réconciliation ait lieu. Le Grand Recueil Comme de toute chose, il y a un secret du vin ; mais c’est un secret qu’il ne garde pas. On peut le lui faire dire il suffit de l’aimer, de le boire, de le placer à l’intérieur de soi-même. Alors il parle. En toute confiance, il parle. À mi-chemin de la cage au cachot la langue française a cageot, simple caissette à claire-voie vouée au transport de ces fruits qui de la moindre suffocation font à coup sûr une maladie. Le Parti pris des choses C’est surtout contre une tendance à l’idéologie patheuse que j’ai inventé mon parti pris. Poèmes C’est une grande composition digne du Véronèse pour l’ambition et le volume, mais qu’il faudrait peindre tout entière dans l’esprit du fameux Bar de Manet. Le Parti pris des choses Deux ou trois fois par jour… au milieu de ce culte, le courrier multicolore, radieux et bête comme un oiseau des îles, tout frais émoulu des enveloppes marquées de noir par le baiser de la poste, vient tout de go se poser devant moi. Le Parti pris des choses Le langage ne se refuse qu’à une chose, c’est à faire aussi peu de bruit que le silence. Proêmes Les choses les plus épaisses ne s’abordent pas sans subir quelque amenuisement… Le Parti pris des choses Mesdames et messieurs, l’éclairage est oblique. Si quelqu’un fait des gestes derrière moi qu’on m’avertisse. Je ne suis pas un bouffon. Le Parti pris des choses→ Autres citations de Francis connexes Auteurs du XXe siècle. Histoire de la France Le XXe siècle. Courants littéraires du XXe siècle Le Surréalisme, l’Existentialisme, le Nouveau roman. Lumière sur… Littérature et engagement au XXe siècle. L’Académie française. Suggestion de livresRecherche sur le site
L’huître » de Francis Ponge est un poème en prose issu du recueil Le Parti pris des choses publié en 1942. Chaque poème de ce recueil, ciselé comme un bijou, décrit un objet L'huître L'huître, de la grosseur d'un galet moyen, est d'une apparence plus rugueuse, d'une couleur moins unie, brillamment blanchâtre. C'est un monde opiniâtrement clos. Pourtant on peut l'ouvrir il faut alors la tenir au creux d'un torchon, se servir d'un couteau ébréché et peu franc, s'y reprendre à plusieurs fois. Les doigts curieux s'y coupent, s'y cassent les ongles c'est un travail grossier. Les coups qu'on lui porte marquent son enveloppe de ronds blancs, d'une sorte de halos. A l'intérieur l'on trouve tout un monde, à boire et à manger sous un firmament à proprement parler de nacre, les cieux d'en dessus s'affaissent sur les cieux d'en dessous, pour ne plus former qu'une mare, un sachet visqueux et verdâtre, qui flue et reflue à l'odeur et à la vue, frangé d'une dentelle noirâtre sur les bords. Parfois très rare une formule perle à leur gosier de nacre, d'où l'on trouve aussitôt à s'orner. Francis Ponge - Le parti pris des choses 1942 I. Une écriture apparemment descriptive 1. Une description organisée en trois temps 2. Une démarche apparemment objective de objet » 3. Une recherche du détailII. Les caractéristiques d'un poème 1. Des jeux de sonorités 2. Des jeux sur le langage 3. Métaphore filée entre l'huître et le mondeIII. La symbolique du poème 1. L'ambigüité de la dernière phrase 2. Lecture rétrospective du poème selon cette signification symbolique I. Une écriture apparemment descriptive Cette impression est accentuée par le choix du poème en prose au lieu de la poésie versifiée, et par le titre même du poème. 1. Une description organisée en trois temps Le texte est construit en 3 temps = 3 paragraphes. - Premier paragraphe description extérieure de l'huître d'une apparence ». Description très générale. - Deuxième paragraphe on passe à une description intérieure de l'huître, comme l'indique les premiers mots du paragraphe A l'intérieur ». La description est aussi plus précise. - Troisième paragraphe description d'un élément particulier à l'intérieur de cette huître la perle. La particularité de cette description est marquée par les premiers mots parfois très rare ». Cette progression de l'extérieur vers l'intérieur et du général au particulier est également marquée par un raccourcissement de la taille des paragraphes. Francis Ponge focalise sur des éléments de plus en plus précis. Le premier paragraphe est constitué de plusieurs phrases 5, le deuxième est une seule longue phrase, et le troisième est une seule phrase courte. Elle est comparée à un galet » -> idée de solidité et de longévité. Ponge insiste sur la difficulté pour ouvrir l'huître apparence plus rugueuse » désagréable au toucher, il est difficile de s'en saisir. opiniâtrement clos » Solution pour l'ouvrir = solution en trois temps, donne l'impression d'un mode d'emploi cf. rythme ternaire marqué par les virgules. Il faut s'y reprendre à plusieurs fois ». Des instruments sont nécessaires torchon, couteau d'utiliser la violence pour ouvrir l'huître Les coups qu'on lui porte », utilisation d'une arme couteau. les doigts curieux s'y coupent, s'y cassent les ongles » deux verbes exprimant une violence renforcée par l'allitération en [k] qui rappelle le son des coups. c Un intérieur rempli d'éléments hétéroclites Le fait que la description de l'huître faite par Ponge dans le second paragraphe ne soit constituée que d'une seule phrase avec beaucoup de juxtapositions insiste sur une sorte de difficulté pour définir la nature de l'intérieur du coquillage. L'expression tout un monde » est renforcée par à boire et à manger » double sens au sens propre signifie qu'il y a de l'eau et le fruit de mer et au sens figuré est une expression signifiant qu'on y trouve beaucoup de choses de qualité différente. Enumération d'éléments appartenant à des réalités diverses les cieux », une mare », le sachet », dentelle ». Caractère insaisissable de certains éléments - les cieux d'en-dessus s'affaissent sur les cieux d'en-dessous » il devient difficile de distinguer lequel est lequel, tout se mélange. - qui flue et reflue à l'odeur et à la vue » expression d'une mobilité qu'aucun sens se semble en mesure de fixer, ni l'odorat ni la vue. Juxtaposition de termes nobles et péjoratifs nacre », mare », visqueux et verdâtre », dentelle noirâtre » la dentelle est une matière noble mais l'adjectif noirâtre la dévalorise -> difficile de donner une valeur à l'huître. d La perle Le poème finit sur un paragraphe élogieux sur l'huître. La beauté perle », nacre » = l'intérieur de l'huître, orner » = fonction esthétique. La rareté très rare » superlatif, formule » = petite forme ce n'est pas abondant. 2. Une démarche apparemment objective de objet » Le poète énonce d'emblée ce dont il va parler L'huître » premier mot et titre du poème. Les deux premiers verbes = verbe être » il s'agit de déterminer une identité, de définir. Eléments propres à une définition la taille grosseur », la couleur blanchâtre », blancs », verdâtres », noirâtre », la consistance rugueuse », visqueux », la matière nacre ». L'énonciation montre une recherche d'objectivité - Tournures impersonnelles on peut », on trouve », s'y reprendre à plusieurs fois »... - Tournures se rapprochant d'une notice explicative il faut alors la tenir », se servir d'un couteau ».3. Une recherche du détail Précision au creux d'un torchon », couteau ébréché », marquent son enveloppe de ronds blancs »... Recours à des comparatifs de supériorité ou d'infériorité plus rugueuse », moins unie » -> caractérisation précise de l'objet. Description qui fait appel aux sens pour permettre au lecteur de se représenter au mieux l'objet dont il est question - La vue couleur », brillamment », blanchâtre », ronds blancs », vue »... - Le toucher rugueuse », ébréché », visqueux ». - Le goût à boire et à manger ». - L'odorat odeur ». - Et dans une moindre mesure, connotation à l'ouïe parler » Toutefois ces précisions restent souvent approximatives, comme le montre l'utilisation du suffixe âtre » blanchâtre », verdâtre » ou encore une sorte de ». Cependant, sous des apparences descriptives, ce texte présente les caractéristiques d'un texte poétique. II. Les caractéristiques d'un poème 1. Des jeux de sonorités - Des homéotéleutes figure consistant à répéter des finales de mots noirâtre », blanchâtre », verdâtre » qui fonctionnent presque comme des rimes. - Des jeux sur les allitérations et assonances En [k] les doigts curieux s'y coupent, s'y cassent les ongles », Les coups qu'on lui porte marquent son enveloppe ». En [r] parfois très rare une formule perle à leur gosier de nacre, d'où l'on trouve aussitôt à s'orner ». En [s] les cieux d'en-dessus s'affaissent sur les cieux d'en-dessous ». En [v] et [f] + assonance en [u] visqueux et verdâtre » ..., flue et reflue à l'odeur et à la vue ». 2. Des jeux sur le langage Sur la polysémie à boire et à manger » huître comestible avec du liquide et du solide à l'intérieur, huître composé d'éléments hétérogènes. firmament » est un terme habituellement utilisé en poésie, nacre » exprime la pureté, mais ici le mot fait référence à la matière dont l'huître est constituée d'ailleurs le jeu sur le sens propre et le sens figuré est mis en évidence par l'expression à proprement parler » mise entre parenthèses c'est comme si le poète nous disait qu'il avait conscience d'utiliser un vocabulaire poétique, il précise car en général il utilise le langage poétique. Différentes figures de style présente dans le texte le rende poétique Oxymore brillamment blanchâtre » blanchâtre » connote un côté terne, non brillant. Personnifications c'est un monde opiniâtrement clos » l'opiniâtreté = persévérance, acharnement est une qualité humaine. un couteau [...] peu franc » connotation morale. leur gosier de nacre » l'huître n'a pas de gosier. Métonymie les doigts curieux » pour désigner la personne qui tente d'ouvrir l'huître. 3. Métaphore filée entre l'huître et le monde Cette idée est retrouvée explicitement à deux reprises dans le poème c'est un monde », et A l'intérieur l'on trouve tout un monde ». Il peut également être noté la présence de vocabulaire qui se rattache à l'idée de monde halos » qui sont des auréoles autour des astres, firmament » qui est la voûte céleste, les cieux » pluriel de ciel. A l'intérieur de ce monde se trouve une sorte de mer élément aquatique après éléments célestes une mare [...] qui flue et reflue » -> marée. Un monde où tout à l'air de s'entremêler - Les cieux » den dessus et les cieux » d'en dessous - Les cieux » deviennent une mare » - La mare » qui est en fait un sachet » Un monde en mouvement s'affaissent » mouvement vertical, flue et reflue » mouvement horizontal. => Transfiguration poétique du réel le réel est transformé en poésie, dès lors cette description devient symbolique. III. La symbolique du poème 1. L'ambigüité de la dernière phrase une formule perle » Premier sens = une petite forme apparaît comme une perle perle de l'huître. Deuxième sens le terme formule » peut signifier une formulation, ce que l'on dit. Ce sens paraît appuyé par la présence du mot gosier » appartenant au même champ lexical = partie intérieure de la gorge d'où sort la parole. Quelle serait cette parole ? - Ses caractéristiques la rareté très rare » mais aussi perle » = ce n'est pas un débit abondant, l'organe de celui qui parle est de nacre » = idée de pureté et de haute valeur la parole est précieuse, et cette parole sert à orner », c'est-à-dire qu'elle a un but esthétique. - Rareté + pureté + esthétique = caractéristiques de la parole poétique. - La perle serait donc en fait un poème le texte est donc une sorte d'allégorie sur la création poétique, l'huître qui produit la perle serait alors le monde poétique. 2. Lecture rétrospective du poème selon cette signification symbolique a Premier paragraphe la création poétique vue de l'extérieur L'insistance sur l'idée de fermeture monde opiniâtrement clos », rugueux », met en évidence l'hermétisme poétique pour les autres qui voient cela comme quelque chose de difficilement abordable. La difficulté pour ouvrir l'huître symbolise la difficulté d'entrer dans l'univers poétique pour quelqu'un qui n'est pas initié, mais cette entrée est possible à force d'efforts. Toutefois il y a une dévalorisation de ces tentatives d'intrusion - La connotation de violence on a l'impression que les "profanes" en poésie violeraient une sorte de refuge, d'ailleurs ils abîment l'huître par leurs tentatives d'intrusion puisque leurs coups ... marquent son enveloppe de ronds blancs ». - C'est parce que leur motivations sont mauvaises tout d'abord, on peut penser qu'ils cherchent absolument à s'approprier les secrets de cette création ils tiennent l'huître au creux d'un torchon » et simplement par curiosité doigts curieux » ou malveillance ou traîtrise couteau ébréché et peu franc ». - Mais beaucoup s'y coupent, s'y cassent les ongles » -> ils ne parviennent pas à rentrer dans cet univers poétique. b Second paragraphe le monde du poète à l'intérieur de l'huître Pour ceux qui arrivent à ouvrir l'huître, c'est-à-dire à comprendre la poésie, un monde entier s'ouvre à eux - Un monde caractérisé par le céleste, une dimension supérieure halos », firmament », cieux ». - Un monde riche, abondant, où tout se mêle mélange des sens, des couleurs, les choses n'ont plus une forme fixe, elles se transforment et se confondent -> un monde difficile à saisir, à définir. - on trouve [...] à boire et à manger » la poésie est capable de nourrir intellectuellement celui qui la comprend. Conclusion Le texte L'huître, de Francis Ponge, est donc bien un poème. Cela se ressent au fur et à mesure de la lecture et est confirmé par la dernière phrase. C'est une sorte de mise en abyme puisqu'il traite du processus de la création poétique et de la perception du monde poétique par les gens extérieurs. Toutefois, le travail poétique de Ponge ne suit pas tout à fait le même sens que d'autres poèmes il ne cherche pas à exprimer certaines idées par des images poétiques, il part avant tout de l'objet et ce sont les particularités de cet objet qui l'amènent à une symbolique, il se propose de voir l'objet sous un autre jour, mais en s'imposant toujours de partir de l'objet lui-même. Ponge donne à ce type de poème le néologisme de objeu » de objet » et jeu ». Le poète est différent des autres, le monde poétique est clos, difficile d'accès. Le poète est celui qui est capable de voir les différentes significations que peut avoir un objet.
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FrancisPonge, « L'Huître », dans Le Parti pris des choses (1942) Commentaire composé Par Laurent FOURCAUT (IUFM de Paris) Introduction * L’œuvre poétique de Francis Ponge est une des plus importantes de la seconde moitié du XXe siècle. Une de ses caractéristiques majeures est sans doute qu’elle prend acte de la

Éditeur Gallimard Collection "Poésie" Quatrième de couverture L'huître L'huître, de la grosseur d'un galet moyen, est d'une apparence plus rugueuse, d'une couleur moins unie, brillamment blanchâtre. C'est un monde opiniâtrement clos. Pourtant on peut l'ouvrir il faut alors la tenir au creux d'un torchon, se servir d'un couteau ébréché et peu franc, s'y reprendre à plusieurs fois. Les doigts curieux s'y coupent, s'y cassent les ongles c'est un travail grossier. Les coups qu'on lui porte marquent son enveloppe de ronds blancs, d'une sorte de halos. À l'intérieur l'on trouve tout un monde, à boire et à manger sous un firmament à proprement parler de nacre, les cieux d'en-dessus s'affaissent sur les cieux d'en-dessous, pour ne plus former qu'une mare, un sachet visqueux et verdâtre, qui flue et reflue à l'odeur et à la vue, frangé d'une dentelle noirâtre sur les bords. Parfois très rare une formule perle à leur gosier de nacre, d'où l'on trouve aussitôt à s'orner. Biographie de l'auteur Né le 27 mars 1899 à Montpellier, Francis Ponge rencontre Jacques Rivière et Jean Paulhan et entre à l'Alliance française en 1952. Il a reçu le Prix international de Poésie en 1959 et ses divers recueils lui ont valu une audience de premier ordre, en particulier auprès de la jeune littérature. Francis Ponge est mort à Bar-sur-Loup le 6 août 1988. Retour à la liste des ouvrages Accès aux fichiers Mp3 Pour accéder aux fichiers Mp3 de cet ouvrage, il faut être adhérent au GIHP de Normandie. Si vous êtes adhérent, il vous suffit de vous connecter via votre "Nom d'utilisateur" et votre "Mot de passe" fourni par le GIHP de Normandie. Si vous n'êtes pas adhérent, vous pouvez en faire la demande via ce formulaire Pour en savoir plus sur les conditions d'adhésion, consulter la rubrique suivante Soutenir le GIHP de Normandie. Donneur de voix Nous sommes à la recherche de bénévoles qui aiment lire et souhaitent partager leur un essai de cinq minutes pour évaluer les qualités de votre voix, nous vous proposerons une formation à l'enregistrement de la lecture au format Mp3. Si vous êtes intéressé, n'hésitez pas à nous contacter. Le réseau national Soutenir le GIHP Devenez adhérent du GIHP, profitez des services de la BSR, il suffit d'être empêché de lire, inscrivez-vous auprès du secrétariat. À titre d'essai, un ouvrage enregistré vous est confié gratuitement pendant 1 mois, au terme de ce mois soit l'ouvrage est rendu sans autre formalité, soit l'adhésion est confirmée par le paiement du droit d'adhésion. AuteurFrancis Ponge Titre et date Le Parti pris des choses 1942 « L Culture Générale et Expression BTS 2015-2016 Thème 1 : Ces objets qui nous envahissent, objets cultes, culte des objets Fiche n°2 - Ponge Vocabulaire Auteur Francis Ponge Titre et date Le Parti pris des choses 1942 « L'huitre » et « Le pain » Type Poésie en prose Prose (NF) Forme ordinaire du discours
Fiche pédagogique Le parti pris des choses de Francis Ponge S O M M A I R E Introduction p. 1 Fiche 1 › Le parti pris des choses un objet poétique d’un genre nouveau p. 2 Fiche 2 › Les choses et les mots p. 7 Fiche 3 › La fin du lyrisme ? p. 10 Fiche pédagogique conçue et réalisée par Hélène Bernard, certifiée de lettres modernes, professeur de français dans un lycée de la région parisienne. Elle est l’auteur de nombreuses fiches pédagogiques, notamment celle sur Un barrage contre le Pacifique de Marguerite Duras. Introduction le cadre pédagogique Le dossier propose de combiner en neuf séances l’analyse du livre Le parti pris des choses et une approche plus globale de ce vaste objet d’étude inscrit au programme de 1 ère qu’est la poésie. Pour cela, les élèves sont invités à relier les poèmes de Ponge et des textes d’autres poètes antérieurs de manière à percevoir l’héritage lyrique et à mesurer l’écart avec la tradition, à ressaisir l’histoire du genre et à entendre la singularité de la voix pongienne. Par-delà l’histoire littéraire, la fiche appelle les élèves à une réflexion problématisée sur la définition de la poésie, qui amène à s’interroger sur les caractéristiques formelles du poème et les thèmes qu’il met en jeu. On y trouvera régulièrement des exercices préparant aux épreuves anticipées du baccalauréat. Retrouvez toutes nos fiches pédagogiques sur le site 1Page 2 and 3 Le parti pris des choses de FrancisPage 4 and 5 Le parti pris des choses de FrancisPage 6 and 7 Le parti pris des choses de FrancisPage 8 and 9 Le parti pris des choses de FrancisPage 10 and 11 Le parti pris des choses de Francis
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